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🔴🇨🇮POLITIQUE / PROJET DE DÉSTABILISATION : LES VRAIES RAISONS DE LA PRÉSENCE DE Soro Guillaume Kigbafori AU MALI

Mi-novembre 2020. En banlieue parisienne où il avait son QG, Guillaume Soro reçoit un message de l'Elysée. Emmanuel Macron lui donne 72h, à partir de la réception du message, pour quitter la France. Doutant du message, Soro joint Benalla, son soutien auprès de Macron, pour en avoir le cœur net. Benalla confirme : "C'est confirmé. Tu dois quitter au plus vite le territoire français". Déstabilisé, Guillaume Soro quitte précipitamment la France. Paris s'est montré agacé par ses appels au soulèvement militaire en Côte d'Ivoire en octobre 2020. C'est quasiment au pas de course que Soro quitte Paris. Le souvenir de la juge Sabine Kheris, qui avait dépêché des gendarmes l'arrêter le 8 décembre 2015 à Paris, le hante encore. Prochaine destination : Bruxelles. Là encore, Soro n'est pas serein. Le mandat d'arrêt international qui plane sur sa tête suite à ses nombreuses manœuvres de déstabilisation de son pays peut être exécuté à tout moment. De Bruxelles, Soro débarque à Chypre, dans la partie Turque. Il y fera des va-et-vient avec Dubaï et quelques pays aux frontières de l'Union européenne.

Ses visas et son passeport ont expiré Pendant ce périple, il continue ses manœuvres. Plusieurs tentatives de déstabilisation à son actif sont enregistrées en Côte d'Ivoire. À Abidjan, même si on suit ses mouvements, il n'est pas une préoccupation outre mesure. D'autant plus que ses documents de voyage (passeport et visas) ont presque expiré. Soro est donc au bout du rouleau. Passeport et visas expirés, sans titre de séjour, il est est en danger en Turquie et à Dubaï. Dans un premier temps, Soro tente de négocier des passeports avec des États, notamment le Togo et le Bénin. Après avoir échoué, il prend langue avec le Mali. Assimi Goïta émet un avis favorable. Guillaume Soro doit se résoudre à quitter la Turquie. Pour brouiller les pistes et accréditer sa thèse d'une traque imaginaire, il lui faut monter une opération. Le 3 novembre, Moussa Touré, son communicant, produit un communiqué mensonger. Or le 2 novembre, Soro était déjà au Mali.

: Soro, cerveau de l'arrestation des 49 soldats ivoiriens au Mali.

Guillaume Soro a suggéré l'arrestation des 49 soldats ivoiriens Il y compte quelques soutiens, dont Ben Souk, qui a épousé une Malienne. Par ailleurs, les autorités maliennes connaissent bien Soro parce qu'il leur a été utile pendant l'arrestation et la détention des 49 soldats ivoiriens au Mali courant juillet 2022. C'est Soro qui a inspiré l'arrestation des soldats en question. Les autorités maliennes ayant toujours essuyé le refus de la Côte d’Ivoire d’extrader certains de leurs ressortissants suite au coup d'Etat contre Ibrahim Boubakar Keita, il leur fallait un moyen de pression. Guillaume Soro leur vend l'idée de la détention des soldats ivoiriens. La junte malienne achète l'idée et propose à la Côte d'Ivoire d'échanger leurs soldats contre les réfugiés maliens réclamés. Quant à Soro, il profite de cette occasion pour échafauder son plan : susciter la révolte des soldats dans les casernes pour espérer un coup d'état. Dans le plan, il fallait l'implication d'organisation de la société civile. Le choix s'est porté sur Pulcherie Edith Gbalet.

Le rôle présumé de Pulcherie Gbalet

 Gbalet avait été contactée par le réseau Soroïste pour participer à la révolte dans les casernes Celle-ci est une activiste proche de l'opposition. Elle a été très active dans la désobéissance civile du mois d'août à octobre 2020. C'est le profil idéal. Elle effectue un voyage sur Bamako. Après des prises de contacts, elle rentre sur Abidjan. Elle doit d'abord animer une série de conférence de presse pour discréditer le gouvernement dans la gestion du dossier des soldats. La seconde étape consistait à prendre langue avec les parents des soldats. Ce qu'elle a fait avant d'être arrêtée et emprisonnée. Finalement, la Côte d'Ivoire refuse le chantage et fait libérer ses soldats. Double défaite pour Soro et la junte malienne. Le Mali est donc l'endroit idéal pour Guillaume Soro. Dans un marché de dupe, la junte malienne compte utiliser l'ancien patron de la rébellion ivoirienne comme un moyen de pression et celui-ci compte s'appuyer en retour sur ses hôtes pour déstabiliser son pays. A Assimi Goïta, Soro négocie une rencontre avec le chef de la junte burkinabè et nigerienne. Le contact est établi. Entre le 8 et le 9 novembre Soro fait un tour à Ouagadougou. Ce lundi 13 novembre, il s'est rendu à Niamey via un vol de la compagnie SkyMali. Contrairement encore au communiqué de Moussa Touré qui annonce Ethiopian Airline. SkyMali est une compagnie locale qui dessert aussi le Niger.

 Guillaume Soro n'est que l'ombre de lui-même Mali, Burkina et le Niger : le triangle infernal

Le triangle infernal (Mali, Burkina et Niger) ainsi bouclé, Soro espère y trouver des appuis à son plan de déstabilisation. De bonnes sources, il a dans son viseur la Coupe d'Afrique des nations (CAN) que la Côte d’Ivoire s'apprête à organiser à partir de janvier 2024. Soro compte anéantir le succès de cette compétition par la psychose, toujours selon nos sources. À Abidjan, on suit de près son dossier. En dehors de Assimi Goïta qui lui accorde un peu de crédit, les présidents nigeriens et burkinabè sont un peu méfiants selon nos sources. Ils évaluent une aide à Soro qui pourrait leur coûter chère sur le plan diplomatique. En plus d'avoir des millions de leurs ressortissants en Côte d'Ivoire, dont les activités représentent un peu plus du tiers de leurs PIB, ils ont engagé, de manière souterraine, des émissaires pour négocier avec le président Alassane Ouattara. Récemment, la Côte d'Ivoire a fourni du matériel militaire au Burkina pour l'aider dans sa lutte contre le terrorisme. Dans ces jeux de poker-menteur entre Soro et les militaires, le temps joue contre l'ancien président de l'Assemblée nationale.

Source: Yacouba Doumbia de L'avenir.ci

A Visionner absolument l'analyse de déconstruction des arguments de Soro Guillaume Par kOUKOUGNON Christ Ivan, connu sous le nom de JOHNNY PATCHE KO (SORO dit mettre fin à son exil)

TOUJOURS SOUS LE COUP D’UN MANDAT D’ARRÊT, GUILLAUME SORO VEUT RETOURNER EN CÔTE D’IVOIRE

Homme le plus recherché de Côte d’Ivoire, l’ancien premier ministre du gouvernement Ouattara, Guillaume Soro, est en exil hors de son pays depuis près de 4 ans.

Dans une vidéo publiée sur son compte X (anciennement Twitter) et relayée par TV5 MONDE, l’homme politique déclare mettre fin à sa cavale malgré les menaces judiciaires qui pèsent sur son dos.Ancien protégé d’Alassane Ouattara, Guillaume Soro a joué un rôle important lors de la crise post-électorale de 2010 en soutenant militairement le président avant son accession au pouvoir. Tour à tour premier ministre puis président de l’assemblée nationale, sa position s’est fragilisée aux alentours de 2019.

LE MONDE rapporte que son rôle trouble dans les mutineries ayant eu lieu début 2017 et ses apparentes velléités de succéder au président à la tête du pays ont tendu les relations entre les 2 alliés. Guillaume Soro démissionnera du gouvernement en 2019 et face à ses multiples déclarations et agissements, il est depuis lors visé par un mandat d’arrêt international pour “tentative d’atteinte à l’autorité de l’état”. La justice ivoirienne l’a ensuite condamné à 20 ans de prison par contumace en 2020 puis à la prison à perpétuité en 2021.

Après avoir tenté un retour infructueux en Côte d’Ivoire fin 2019, l’ancien ministre est en cavale à travers le monde où il affirme avoir échappé à plusieurs tentatives de meurtres ou d’extraditions par le gouvernement ivoirien. Dans son post, il entend mettre fin à son exil pour contribuer à la réconciliation en Côte d’Ivoire. Même déchu de ses droits civiques, Guillaume Soro a toujours déclarer ne pas exclure de se présenter lors de futures élections dans son pays natale.

 Source Ubiznews OM513 novembre 2023 Par Marie Gaulade

La vidéo de Ladji Cherif, qui analyse et réplique politiquement à SORO Guillaume, est absolument à voir.

Par Venance KONAN PDCI, on dit quoi ? "C’est chaud au Parti démocratique de Côte d’Ivoire-Rassemblement démocratique africain (PDCI-RDA)".

Déjà avant le décès du président Henri Konan Bédié, ils étaient quelques-uns à lorgner son fauteuil de président de leur parti. Il y avait notamment Jean-Louis Billon, et Akossi Bendjo. Ce dernier avait élégamment proposé au Sphinx de Daoukro de devenir le Mandela ivoirien, c’est-à-dire, en clair, de dégager et d’aller s’occuper de ses petits-enfants. Et pour le remplacer à la tête du parti, Bendjo ne voyait que…Bendjo bien entendu. Au lendemain de cette déclaration, il avait été sèchement recardé par un dignitaire du vieux parti qui ne pouvait pas supporter que l’on parle de la succession du grand chef de son vivant. Le grand chef n’est plus. Il a été rappelé à son créateur.

En principe cela devrait être du pain béni pour ceux qui aspiraient à lui succéder. Le boulevard est ouvert. Mais voilà ! Nous sommes dans le troisième mois après son décès et personne ne sait quand il sera inhumé. Peut-on engager une course à sa succession dans ces conditions ?

Durant le premier mois tout le monde est resté coi. Mais le temps passe et ils sont quelques-uns à ne plus pouvoir contenir leur impétuosité. Jean Louis Billon a rappelé récemment qu’il avait déjà clairement annoncé sa candidature. Donc il est toujours là, au cas où certains auraient cru qu’il aurait renoncé. Il y aussi Tidjane Thiam qui ne dit rien, mais qui a beaucoup de personnes pour parler pour lui. Ainsi un certain Eugène Kouassi affirme que le PDCI n’a pas à aller chercher l’homme providentiel parce qu’il est déjà là. Et cet homme providentiel n’est autre que… Tidjane Thiam. Mais Bendjo n’est absolument pas d’accord. Il dit qu’il ne croit pas du tout en l’homme providentiel.

Tant que ce n’est pas lui. Et surtout s’il s’agit de quelqu’un qui a plus d’argent que lui : « il faut absolument que nous fonctionnions en équipe. Que chacun prenne son espace. Tout le monde ne peut pas avoir de l’argent. Mais celui qui n’a pas l’argent (c’est-à-dire lui), il a l’intelligence, la finesse, la capacité à parler (son portrait craché). Moi je ne crois pas aux hommes providentiels. Il n’y pas d’homme providentiel. Je lis par-ci, par-là, que c’est celui-là qui peut faire ceci, ou celui-ci qui peut faire ceci. Les présidents Houphouët-Boigny et Henri Konan Bédié sont décédés, nous autres, nous sommes les hommes ordinaires. Il faut que nous sachions que chaque militant et chaque militante doit travailler dans son village, dans son quartier, dans sa maison. Et c’est la somme de ce travail qui rendra le parti fort. Le PSG est allé chercher Messi et Neymar, ils n’ont rien gagné.

C’est-à-dire, ce ne sont pas les modèles qui font gagner, mais ce sont les équipes. » (Nouveau Réveil du 9 octobre.) traduction : si vous allez chercher votre Thiam et si vous me laissez, vous ne gagnerez rien. La réplique est venue aussitôt d’un certain Jacques Roger, dans le Nouveau Réveil du lendemain. Il a expliqué que « si le recrutement de talents ne garantit pas automatiquement la victoire, Chicago a connu ses plus grands succès avec Michael Jordan, le Real Madrid avec Cristiano Ronaldo et Manchester City avec Erling Haaland. » et donc, « dans cet esprit, Tidjane Thiam émerge comme un candidat exceptionnel pour le PDCI. Il combine le leadership, la crédibilité internationale et la capacité financière. » Le mot est lâché. Celui qu’on cherche en réalité à la tête du PDCI, c’est quelqu’un qui a de l’argent et qui est prêt à le dépenser. Comme Bédié. Et dans ce registre, ceux qui semblent en avoir le plus sont Tidjane Thiam et Jean Louis Billon.

Mais sont-ils prêts à le dépenser comme Bédié, pour faire vivre le parti et entretenir tous les parasites ?

C’est une autre histoire. Il n’est pas impossible qu’il y ait de cruelles désillusions à ce niveau. Ne serait-il pas plus simple pour le PDCI de publier cette annonce : « parti politique cherche repreneur riche et surtout généreux, capable de payer pour les enterrements de ses membres et de leurs familles » ?

Gnamien Yao, une des grandes gueules du PDCI qui, lui, n’a aucune chance de diriger le vieux parti, mais qui n’a aucune envie de se faire oublier a déclaré pour sa part, toujours dans le Nouveau Réveil du 9 octobre : « plusieurs sons, plusieurs courants de pensée traversent le PDCI-RDA. Certains de nos militants sont inquiets pour cela, à telle enseigne qu’ils se demandent si les chocs des ambitions et des aspirations dont on entend parler çà et là ne vont pas ruiner l’ensemble de l’édifice PDCI-RDA. » Mais non, mais non. Un de ceux qui ont l’argent finira par s’imposer et tout ira très bien.

Par Venance Konan

Qui est Robert Mambé Beugré, le nouveau Premier Ministre

Ancien Président de la Commission électorale indépendante (CEI) et Ministre Gouverneur du District Autonome d’Abidjan, Robert Beugré Mambé, est né à Abiaté le 01 janvier 1952, localité située à la périphérie d´Abidjan, dans le sud de la Côte d’Ivoire. Titulaire d'un baccalauréat mathématiques et technique, il rentre en 1971 à l´Ecole Normale Supérieure des Travaux Publics où il s'adjuge le diplôme d'ingénieur des travaux publics, en 1976.

- Après son cursus universitaire, ce spécialiste en calcul de ponts, de barrages, d’immeubles de grande hauteur, de plateformes en mer et de grands ouvrages d’assainissement intègre l'administration ivoirienne où il exerce dans les plus hautes sphères de l´Etat, assurant pendant de nombreuses années, la fonction de Directeur de Cabinet des plusieurs Ministres en charge de l’Urbanisme, du Logement, de la Construction, de l’Equipement, de l’Assainissement, des Transports, du Tourisme et de l’Environnement. Il est aussi sollicité régulièrement par la Banque Mondiale pour conduire des projets communautaires. Au sortir de la grave crise post-électorale qu’a connue la Côte d’Ivoire en 2010, il est nommé Gouverneur du District Autonome d´Abidjan en avril 2011, avec pour mission de reconstruire aux côtés du Président de la République, la capitale économique Abidjan, lui redonner son positionnement international et renouer les liens de la cohésion sociale entre les principales couches ethniques, politiques et sociales du Grand Abidjan. Il nourrit de grandes ambitions pour le District Autonome d’Abidjan et en quelques années seulement de travail, il convainc les plus sceptiques sur ses grandes capacités de manager, ce qui lui vaut aujourd’hui des lauriers aussi bien au plan national qu'international.

Dans l'exercice de ses responsabilités de Gouverneur du District Autonome d’Abidjan, il fait montre d'un engagement acharné dans la lutte contre la pauvreté, à travers un certain nombre de projets tels que la construction d'usines d´attiéké (semoule de manioc cuite à la vapeur, projet pour lequel Abidjan a obtenu le 3ème Prix Mondial de l’Association Métropolis), de transformation de la tomate fraîche en conserve. Mais aussi, et surtout, à travers l'institution du Prix Alassane Ouattara du jeune entrepreneur émergent doté d'une enveloppe annuelle de 200 millions de FCFA, afin de permettre aux jeunes qui le souhaitent de s'installer à leur propre compte.

En 2016, à l’issue du Conseil des Ministres du mercredi 27 juillet, il est nommé Ministre auprès du Président de la République chargé des Jeux de la Francophonie. Mambé réussit à les organiser avec brio au point où lors de sa réunion d’orientation en 2018 à Paris, les Responsables de l’Organisation Internationale de la Francophonie les qualifient « des plus aboutis de l’histoire de l’organisation. » Le 13 Mai 2020, le Président de la République procède à la Signature de décrets de nomination. Parmi les promus se trouve Robert Beugré Mambé. Il est désormais Ministre, Gouverneur du District Autonome d’Abidjan. Deux ans après, soit en Février 2022, le Président de la République, SEM Alassane Ouattara fait de lui le numéro 3 du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), le parti au pouvoir. Le travail de ce prédicateur ne passe pas inaperçu, c'est à juste titre qu'il figure en bonne place parmi "les 50 personnalités qui font la Côte d´Ivoire", selon le célèbre hebdomadaire panafricain « Jeune Afrique l’Intelligent ». En mai 2015, il décroche une autre distinction et non des moindres, celle du meilleur africain ayant initié des actions de développement local en faveur des populations. Un prix qui a mobilisé les sommités du monde de la finance et des assurances à Abidjan. Aujourd'hui, il caresse le rêve de hisser Abidjan au rang de grandes métropoles africaines telles que le Caire, Johannesburg et Lagos. Pour atteindre ce noble objectif, il a engagé des travaux d´Hercule dans les domaines de la voirie, de l'électrification, de l'addiction d'eau, de l'éducation pour plusieurs milliards de FCFA. Il veut ainsi prendre une part active dans l'émergence de la locomotive de l´UEMOA que constitue la Côte d´Ivoire.

En 2023, il est élevé au grade de Docteur honoris causa de l’Ecole de Commerce de Lyon en même temps que plusieurs autres personnalités africaines et européennes influentes.

Curriculum vitæ
 FORMATION ACADÉMIQUE  

1977: Diplômé du Centre des Hautes Etudes de la Construction de Paris France (Spécialité calcul des structures en béton Armé et béton Précontraint): diplôme de 3ème cycle Equivalence du D.E.A (Diplôme d'Etudes Approfondies).   1973-1976: Diplôme d’Ingénieur des Travaux Publics (Vice-major de la promotion)   1971-1973: Mathématiques supérieures et mathématiques spéciales   1971: Baccalauréat mathématiques et techniques

 FORMATIONS COMPLEMENTAIRES  

1998 :Formation en matière de financement du logement en France auprès de l’Office HLM, Caisse des Dépôts, Crédit Foncier, Caisse de Garantie, Crédit Agricole, Caisse de Refinancement Hypothécaire, sur financement de la Coopération Française. 1995: Formation sur la gestion foncière (financement, aménagement, commercialisation) au Centre de Formation continue de l`Ecole Nationale des Ponts et chaussées de Paris 1994 : Formation sur le financement du logement à Paris, au Centre de Formation Continue de l`Ecole Nationale des Ponts et Chaussées. 1991-1992: Formation en gestion des entreprises à l`Ecole des Chefs d’Entreprises d’Abidjan (1 année scolaire) 1991: Gestion financière et Gestion des ressources Humaines (Yamoussoukro) 1989: La stratégie de l’entretien routier: Programmations et mécanismes de mise en œuvre. Formation à Libreville (Gabon) par la Banque Mondiale 1986: Stage à la Caisse des Dépôts et Consignations de Paris sur la Gestion des Sociétés d`Economie Mixte en Aménagement Urbain à Lyon et Marseille (structures, financement, méthodologie) 1984: Formation en gestion des entreprises au Centre Ivoirien de Gestion des Entreprises 1984: Formation en gestion du Personnel à Yamoussoukro  

 FONCTIONS OCCUPÉES   DATE FONCTIONS MISSIONS

De 2011 à ce Jour Gouverneur du District d’Abidjan puis Ministre Gouverneur du District Autonome d’Abidjan - Assurer la gestion administrative Initier et assurer le développement duDistrict Autonome d’Abidjan A ce titre les projets ci-après ont été réalisés. - Réalisation de la phase 1 du programme de bitumage des villages Atchan et Akyé visant le bitumage de 110 Kms de voies - Lancement de la phase 2 du programme de bitumage des villages du District d’Abidjan portant sur 150 Kms - Renforcement du réseau d’adduction d’eau potable dans les villages des Sous-préfectures du District - Renforcement du réseau électrique - Réalisation d’infrastructures d’assainissement et de drainage - Construction et réhabilitation d’infrastructures éducatives - Construction et réhabilitation de bâtiments au profit des FDS - Equipement en moyens logistiques et matériel technique des pompiers militaires et civils Financement de projets jeunes - Construction d’unités de production d’attiéké - Mise aux normes par la construction et réhabilitation d’infrastructures à l’Abattoir de Port Bouët - Acquisition de fermes au profit des jeunes - Insertion dans le tissu social de jeunes déscolarisés appelés Enfants de la rue 2016 à 2018 Ministre auprès du Président chargé des jeux de la francophonie - Organiser les 8 èmes Jeux de la Francophonie A côté de la tenue effective de ces jeux, les travaux ci-après ont été réalisés: • Réhabilitation de sites publics (Musée, Bibliothèque Nationale, Palais de la Culture, Stade Robert Champroux) • Construction du village Akwaba (4000 lits), de l’espace Canal aux bois, de la salle de Tennis du Palais des Sports de Treichville • Formation des jeunes au Bénévolat 2006 à 2010 Président de la Commission Electorale Indépendante • Restructurer la CEI et installer tous ses démembrements ; • Faire authentifier la liste électorale de 2002, retenue par les Accord de Ouagadougou comme la liste de référence ; • Conduire le processus électoral de sortie de crise (cartographie électorale, recensement électoral, supervision de confection des documents électoraux par l’INS et SAGEM SECURITE)  

2001à 2006 Consultant Indépendant - Consultant auprès de la commune du Plateau (études d’Ingénierie spécifiques. voiries, assainissement - drainage) en 2002, - Consultant auprès de la commune de Port-Bouët (assistance technique permanente) depuis 2003. - Consultant auprès du Bureau National d`Etudes Techniques (BNETD) pour l'organisation du séminaire relatif aux quartiers précaires : exemple de la commune de Man sur le thème : Capitalisation des études et expériences de restructuration des quartiers précaires en Côte d`Ivoire en Mai 2002. - Consultant auprès du ministère de la Construction et de l`Urbanisme, du Bureau National d`Etudes Techniques, de la Banque Nationale d`Investissement, et de la Direction Générale des Impôts, pour la réalisation d'une étude sur le thème :" Incitations Fiscales et Mécanismes de Financement de l`Habitat " dans le cadre du séminaire sur le financement de l'habitat social et économique en Juillet 2005 1995 à 2001 Coordinateur Projet Banque Mondiale Coordinateur du Projet Banque Mondiale sur la nouvelle politique de l’habitat en Côte d’Ivoire comprenant 40 sous projets et actions dont les reformes législatives et réglementaires en matière foncière, la réforme de la gestion foncière, la reforme du financement du logement et le renfor- cement des capacités institutionnelles. 1990 à 1995 Directeur de Cabinet - Directeur de Cabinet au Ministère de la Construction chargé de la définition des politiques en matière d’urbanisme, d’aménagement foncier, d’habitat, de construction. - Directeur de Cabinet au Ministère du Logement, du Cadre de Vie et de l’Environnement chargé du pilotage du plan national d’action environnementale et chef de la délégation du gouvernement ivoirien auprès de la Banque Mondiale à Washington pour la négociation du Projet d’Appui Institutionnel à la politique de l’habitat. 1985 à 1990 Directeur de Cabinet Conseiller Technique Directeur Général de la SETU Directeur de Cabinet du Ministère de l’équipement, des Transports et du Tourisme chargé de conduire les réflexions sur la valorisation des permis professionnels dans le cadre de la lutte contre les accidents de la circulation. Directeur de Cabinet du Ministère de la Construction et de l’Urbanisme. Entre autres activités : la définition des politiques d’urbanisme, d’aménagement urbain, d’habitat, de construction, de révision et d’adaptation aux contingences des textes règlementaires en matière d’urbanisme. Conseiller Technique au Ministère des Travaux Publics et des Transports, de la Construction et de l’Urbanisme en charge des questions hydrauliques et d’assainissement notamment l’examen et le redressement des plans directeurs de voirie, d’assainissement et d’hydraulique ainsi que l’élaboration des politiques de routes nationales, des pistes villageoises, des pistes agricoles. Directeur General de la Société d’Equipements des Terrains Urbains (SETU) chargé de l’établissement des plans directeurs du réseau d’assainissement et de drainage de la ville d’Abidjan et des villes de ‘intérieur ainsi que les négociations avec les propriétaires coutumiers ; Expérimentation réussie de l’approche participative dans la gestion des quartiers précaires avec des prises de décisions collégiales et l’assentiment des populations concernées. 1977 à1985 Chef de Département Ingénieur Chef Projet Chef de Département Grandes Infrastructures du Bureau Central des Etudes Techniques (B.C.E.T) en charge de la conception et du calcul des grands ouvrages (Pont De-Gaule- Boulevard Giscard d’Estaing, Boulevard de la Paix à Attécoubé, voiries et immeubles de grande hauteur ; Ingénieur en chef chargé d’identifier sur le territoire national l’état des pistes agricoles et rurales ainsi que les ouvrages et propositions de mesures opérationnelles ainsi que d’un catalogue de calcul des ponts mixtes. 1981 à 1984 Directeur de Cabinet du Ministère de la Construction et de l’Urbanisme Chargé de la mise en œuvre de la politique gouvernementale en matière d’urbanisme et de construction 1977 à 1981 Chef du Département Grande Infrastructure du BCET (actuel BNETD) Chargé de la conception et du suivi des gros œuvres du gouvernement

LE POSITIONNEMENT DU DISTRICT AUTONOME D’ABIDJAN DANS LES RESEAUX DE VILLES

Association ou Réseaux de villes Position Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) Secrétaire Général et Vice-Président Fonds Mondial de Développement des Villes (FMDV) Co-Président Association des Grandes Métropoles du Monde (Metropolis) Envoyé Spécial pour le Congrès Mondial du 40ème Anniversaire (2025) Association Internationale des Villes Messagères de la Paix (AIVMP) Vice-Président Afrique Association Internationale des Régions Francophones (AIRF) Secrétaire Général Adjoint Pacte de Politique Alimentaire Urbaine de Milan (MUFPP) Membre du Comité de Pilotage, Représentant Zone Afrique Groupe C40 Vice-Président Afrique

CONFÉRENCES D’ORDRE GÉNÉRAL

 1991: Le métier d'ingénieur Génie Civil : hier, aujourd'hui et demain. Encadrement de thèses de fin cycle (dans l'enseignement supérieur). En collaboration avec des élèves ingénieurs de l’ENSTP, 1- Promotion immobilière privée individuelle et promotion immobilière collective : comparaison des coûts.
(Mr N`Guessan André Rodrigue) 2- Optimisation de l'aménagement foncier.
(Mr Kouakou Didier) 3- Mécanisme de collectes des impôts fonciers.
(Mr Dosso Gosse) 4- La purge des droits coutumiers : la rationalisation.
(Mr Amani Gilles) 5- La quotité cessible dans le financement du logement,
(Mr Gnayoro Guy Noël) 6- La demande et l'offre en logements. (Mr Sidibé Laciné)
7- Le dimensionnement des ouvrages de drainage.
(Mr Loukou Konan, décédé) 8- Etablissement d'un catalogue de calcul des débits pour les ouvrages routiers. (Mr N`Guessan Yao)
9- Les conséquences plurielles du déficit en logements. (Mr Kessé Gérard)
10- Le financement de l'aménagement foncier.
(Mr Kossonou Yao Roméo) 11- La création des Titres fonciers : faiblesses et solutions. (Mr Touré Watoun Mathieu) 12- La gestion de la copropriété à Abidjan : problématique et solutions. (Mr Koné Souleymane) En collaboration avec des étudiants en DESS Economie immobilière de l’Université FHB 13- Impact des exonérations fiscales sur le coût du logement (Mr Dao B) 14. La part du logement dans le Produit Intérieur Brut de la
Côte d`Ivoire de 1990 à 2000. (Mme Daly Félicité) 15. L'influence du circuit de vente des matériaux sur le coût des logements. (Mr Yao Kouadio Hippolyte)
16. Le choix alternatif des logements en Rez-de-Chaussée et en hauteur: point de vue du décideur politique. (Mlle Touré K.)

AUTRES RESPONSABILITÉS  

De 1995 à 2001: 1er Adjoint au maire de Songon (commune située à 30 km d`Abidjan). Chargé des problèmes de développement urbain et des pistes agricoles et villageoises. Conférence dans le domaine de l'habitat et de l'aménagement urbain   1999: Coprésident scientifique de préparation puis président scientifique du séminaire de refonte (i) des textes organiques des professions de l’immobilier, (ii) des relations entre professionnels de l'immobilier, (iii) des relations entre les professionnels de l'immobilier et l`Etat, organisé en 1999 à Yamoussoukro (Côte d`Ivoire).   1999: le financement du logement en Côte d`Ivoire.   1988: Organisateur principal et conférencier au séminaire sur l'entretien routier à l`Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics de Yamoussoukro.   1986: Membre du comité scientifique du séminaire sur l'aménagement urbain organisé par l’USAID à Harare au Zimbabwe en 1986   1986: Organisateur principal et directeur scientifique du séminaire sur la conception des réseaux d'assainissement et de drainage dans l'aménagement urbain, organisé à l`Ecole nationale supérieure des TP de Yamoussoukro (Côte d`Ivoire).   1986: Le dimensionnement et le calcul des ouvrages de drainage et d'assainissement   1986: La politique de l`Habitat en Côte d`Ivoire de 1960 à 1984   1986: Les infrastructures dans l'aménagement urbain Depuis 1978: - Encadrement des élèves ingénieurs pour leur thèse de fin de cycle - Membre du grand jury et président du sous-jury bâtiment et urbanisme des diplômes d'ingénieur de l`Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics (ENSTP) 1978 à 1997 :membre de plusieurs Conseils d’Administration de sociétés (Caisse Nationale de Prévoyance Sociale, Société de Construction et de Gestion Immobilière, Office Ivoirien des Chargeurs, Office des Télécommunications de Côte d`Ivoire). De 1978 à 1984: - Assistant en calculs de structures et ouvrages de drainage à l`ENSTP. - Chargé de cours en calculs de structures à l`ENSTP
- Professeur de calcul des ouvrages en béton précontraint (en relation avec le professeur Deux du CEBTP de Paris).
Distinctions et publications
OUVRAGE EN PREPARATION : Les quartiers précaires à Abidjan : une nécessité de la conversion du regard dans la lutte contre la pauvreté. DISTINCTIONS : - Officier du mérite sportif de Côte d`Ivoire - 1986
- Lauréat auprès de " Voice International of Africa " au titre de la SETU en 1986
- Lauréat auprès de "Africa Award" au titre de la SETU en 1987
- Chevalier de l'ordre du Mérite de Côte d`Ivoire en 1988
- Officier de l`Ordre du Bélier en 2004.

: Source APRNEWS

OIC: La Côte-d’Ivoire prend la tête du Comité commun [projets, statistiques, promotion et développement "Organisation Internationale du Café"

A la faveur de la 5ème conférence Mondiale du café suivie de la 136ème session du conseil international du Café qui s’est tenue à Bangalore (Inde) du 25 au 29 septembre 2023, l’Ambassadeur Aly TOURE vient d’être élu président du Comité commun de l’Organisation Internationale du Café (OIC).

L’OIC a pour mission de renforcer le secteur mondial du Café et d’encourager son développement durable dans le cadre d’une économie de marché pour le bien-être de tous les acteurs de la chaîne de valeur de cette spéculation.
Les pays membres représentent 98% de la production et plus de 67% de la consommation mondiale de café.
Les travaux qui se tenaient à Bangalore ont enregistré la participation de 80 pays et 2600 délégués
En effet, pour rendre le travail du l’OIC plus efficace, l’Accord international de 2022 sur le café (AIC) établit deux comités : le Comité des finances et de l’administration (CFA) et le Comité économique (CE). Le CFA continuera d’examiner les questions financières et administratives de l’OIC dans la continuité de l’AIC 2007. Le CE, quant à lui, intégrera tous les objectifs et activités techniques et stratégiques des trois comités techniques existant dans le cadre de l’AIC 2007 (statistiques ; promotion et développement des marchés ; et projets), y compris ceux qui étaient liés au Forum consultatif sur le financement du secteur du café et qui sont maintenant traités par le Groupe de travail public-privé sur le café (GTPPC).

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‘Côte d’Ivoire - Mali’’ La réaction de Jean louis Gasset et aussi Le COMMUNIQUE de L'Office National des Sports

Mettre fin à la désinformation, ce n'est pas la première fois dans le monde que nous voyons cela en raison de mauvais temps qu'un match de football est interrompu, même dans les grands championnats mondiaux, il se produit aussi.

COMMUNIQUE ONS Ce mardi 12 septembre 2023, une rencontre amicale opposant l'équipe nationale de Côte d'Ivoire à son homologue du Mali s'est déroulée au stade Olympique Alassane Ouattara à partir de 19h00. La première moitié du match de football s'est jouée dans des conditions optimales, jusqu'à ce qu'une pluie diluvienne se manifeste juste avant la pause, forçant l’arbitre a écourté le temps additionnel et les 22 joueurs à se retirer temporairement du terrain. Après la pause forcée, la forte pluie persistait, et un test de rebondissement effectué par les arbitres n'a pas permis de garantir la poursuite immédiate du jeu. Face à cette situation, une réuniond'urgence a été convoquée entre les officiels et les organisateurs du match pour décider de la suite de la rencontre.Gasset « Je pense que si c’était un match à enjeu peut-être qu’on aurait essayé de reprendre le jeu pour voir si on pouvait finir ce match, mais avec l’état du terrain et ces grosses flaques d’eau, mieux vaut ne pas mettre en danger l’intégrité physique du joueur. Pour un match amical, ce n’était pas nécessaire de prendre un tel risque donc l’arbitre à très bien fait. Par contre au niveau du terrain, on a connu à Bouaké un orage avant de s’entrainer à tel point qu’on pensait ne pas pouvoir le faire tellement qu’il y avait de l’eau. Et une demi-heure après le terrain était de nouveau praticable parce qu’il avait été bien drainé. Pour cette pelouse d’Ebimpé l’eau n’est pas absorbée, et quand on sait qu’on risque de jouer des matchs capitaux dans ce beau stade, il y a une réflexion à avoir. »
À l'issue de cette concertation technique, il a été décidé d'arrêter le match en raison des conditions météorologiques défavorables. Il a été observé que des flaques d'eau s'étaient formées sur la pelouse, indiquant un drainage lent du terrain. Cette situation pourrait être due au débordement conjoncturel du système de drainage ou à un problème de nivellement de la pelouse. Cependant, nous tenons à préciser que des experts spécialisés dans l'entretien de la pelouse et des infrastructures connexes sont actuellement mobilisés pour apporter immédiatement les corrections nécessaires.

L'Office National des Sports, Maitre d’ouvrage délégué par le Ministère des Sports en liaison avec le BNETD,Assistant a Maitrise d’Ouvrage , restent engagés dans le Suivi et la Réalisation des infrastructures sportives et d’hébergement de haute qualité pour la CAN 2023, comme en témoignent les ouvrages de Yamoussoukro, Bouaké, et San Pedro, qui ont récemment été utilisés pour les matches des Éléphants et homologués par la CAF. Nous rassurons le Mouvement sportif et l’ensemble de nos compatriotes que nous mettrons à la disposition de la CAF conformément au calendrier convenu toutes les infrastructures prévues pour une CAN exceptionnelle en Cote d’Ivoire. La Direction Générale

SIEGE: ABIDJAN, TREICHVILLE, PISCINE D’ETAT 04 BP 349 ABIDJAN 04 –  TEL: (225) 27 21 59 95 70 / 01 73 01 24 24 OfficeNationalDesSports Ons_Civ

Publication de Annick Adjoua officiel Pour être vraiment objectif

Ce n'est pas le fait qu'il y ait de l'eau sur la pelouse qui est le problème, car avec une forte pluie, même les systèmes de drainage les plus sophistiqués peuvent prendre du temps pour absorber l'eau. Le vrai problème selon moi c'est le manque de matériel adéquat pour enlever l'excès d'eau de la pelouse le plus vite possible, sans attendre le système de drainage. Sur les pelouses en Europe, quand ils sont face à pareille situation, ils ont des outils simples pour vite balayer l'eau en excès et ça se passe de manière très professionnelle. Mais venir avec des serpillières pour éponger une pelouse d'un stade de football, devant les caméras du monde entier, c'est quand même honteux. Comment peut-on penser que des serpillières peuvent faire ce travail? Pourtant, il y a bel et bien les outils adéquats pour cela, et ça ne coûte rien du tout! S'il vous plaît, arrêtez de mettre la honte sur tout un pays! (Applos Dan Thé)

Côte d’Ivoire-Après la razzia du Rhdp aux élections locales : « C’est le résultat de la politique du président Ouattara » (Adama Diomandé, cadre RHDP) President de L'ADDL (Association pour la Defennse de la Democrati et les Liberté).

A ces élections locales, le RHDP a presque tout remporté. Sauf le V Baoulé où il a partagé les postes avec le PDCI Le conseiller spécial d’Epiphane Zoro, ministre de la Promotion de la bonne Gouvernance et de la Lutte contre la corruption, Adama Diomandé a réagi à la victoire de son patron. Il en a profité pour recadrer l’ancien Premier ministre Guillaume Soro.

Vous êtes conseiller spécial du ministre Epiphane Zoro qui voient de remporter les Régionales dans la Marahoué. Quels sentiments vous animent après ce succès ?

 C’est une victoire qui me rend heureux et fier. Puisque c’était un défi lourd à relever. Le ministre Epiphane Zoro, vous ne l’ignorez pas, a été repêché à la dernière minute. On pourrait dire qu’il a été sauvé par le gong. C’était donc un énorme défi pour lui. Cette victoire montre la solidité de la relève politique dans notre pays. Je puis vous dire que ce n’est pas le fruit du hasard. Il y a un travail de fond qui a été fait par le ministre auprès de ses parents qui n’étaient pas favorables au RDR d’abord, puis au RHDP. La Marahoué est traditionnellement acquise au PDCI et au FPI de Laurent Gbagbo. Il fallait donc faire un travail de fond et ce travail, le ministre l’a commencé depuis 2018, après son échec aux Régionales qui se sont tenues cette année-là. Il s’est mis aux côtés de ses parents et je puis affirmer qu’il est celui par qui la région a connu de nombreuses infrastructures de nature à améliorer les conditions de vie et de travail des populations. Ai-je besoin de vous rappeler que pendant la visite d’Etat du président Alassane Ouattara dans la Marahoué, il a présenté le ministre comme son fils ?

Quelques mois après, les réalisations faites dans la région étaient considérables. Toutes les sous-préfectures, les départements sont reliés par des routes bitumées, les voies secondaires sont reprofilées. Des collèges de proximité ont été construits dans presque toutes les sous-préfectures voire les villages. Il y a l’eau courante dans la majorité des villages et l’électrification est une réalité dans cette région. Tout ce travail a été vérifié sur le terrain et je peux dire que cela a contribué à laver l’image du ministre qui avait été diabolisé à l’époque parce qu’il a signé le certificat de nationalité du président Alassane Ouattara du temps où ce dernier était dans l’opposition. Il avait alors 27 ans. Et il a payé un lourd tribut à cet acte qui a été perçu autrement par ses parents qui le voyaient comme un adversaire, un allié des étrangers qui seraient venus envahir ce pays. Une campagne d’intoxication a été menée contre le ministre. La conséquence, c’est qu’il a dû s’exiler pour sauver sa peau. C’est comme ça qu’il se retrouve en Europe. Et notre amitié vient de là. Puisque nous sommes un certain nombre de personnes qui l’avons accueilli en France. Mon frère Mamadou Ouattara a quitté Bruxelles pour venir le soutenir en France. Je pense, in fine, que le président Ouattara a eu le nez creux en désignant le ministre Epiphane Zoro pour être candidat aux Régionales dans la Marahoué.

Justement, on va revenir sur les péripéties qui ont entouré cette désignation. C’est le ministre Adama Koné qui avait été coopté. Mais, d’abord le sénateur Alomo Paulin puis vous, avez élevé la voix pour dénoncer ce choix et proposer le ministre Epiphane Zoro. Pensez-vous que vos voix ont pesé dans la balance ?

Le sénateur Alomo et moi, nous serions prétentieux de le croire. Cependant, nous avons alerté le président de notre grand parti et à ce niveau, nous pensons avoir fait notre devoir de militants.

 Mais, qu’est-ce qui a motivé votre démarche ?

 Pour ma part, j’ai toujours été guidé par un principe et je n’ai jamais transigé avec. C’est de dire la vérité, quoi que cela puisse me coûter. J’ai donc toujours dit la vérité au président Alassane Ouattara depuis la période où je résidais en France de manière permanente. Je ne vais jamais marcher dans une affaire qui peut salir l’image du président de la République. Je ne suis pas souvent compris, mais ce n’est pas grave. Ce qui m’intéresse, c’est l’image du président de la République, en interne comme à l’extérieur. Le sénateur Alomo a eu le courage de dire certaines vérités qui lui ont valu une volée de bois vert de la part de certains. J’ai estimé qu’il fallait le soutenir, d’autant que j’approuvais sa démarche. Et c’est ce que j’ai fait. Si donc on persistait dans l’erreur en soutenant que comme le ministre Epiphane Zoro n’a pas suffisamment de moyens, et qu’il ne serait pas aimé par ses parents, il n’est pas la bonne personne pour diriger la région, on allait droit dans le mur. C’était certain. Or, grâce à lui, le président de la République est en train de sortir la Marahoué de son isolement et cette région est également en train de rattraper son retard au niveau du développement. Les parents voient ça. Et donc s’ils étaient fâchés avec leur fils, grâce au bonheur qu’il est en train de leur apporter, je pense qu’ils sont dans une autre dynamique. Ils ont tourné la page des ressentiments. La question des moyens n’était donc pas pertinente pour le sénateur et moi. D’ailleurs, son élection à la tête de la région vient démontrer qu’il n’y a pas que les moyens financiers dans la vie. Il y a aussi les relations humaines. Que ce soient les Gouro, les Yowlè, les Ayawou, les Mossè (ressorissants burkinabè qui occupent au moins 5 villages et qui sont là avant l’indépendance), les Malinké, toutes ces populations l’ont soutenu. L’écart de 13 000 voix entre lui et le vice-président du PDCI est assez éloquent à cet effet. Voilà la réalité du terrain.

Qu’est-ce qui a fait la différence ?

Il avait un programmé structuré. Et il n’a pas dit à ses parents qu’il a de l’argent à leur distribuer. Cependant, il leur a fait savoir que le président de la République lui fait confiance et ses collègues, les autres ministres, lui font également confiance. ‘’Si vous me mettez donc à la tête de la région, voilà ce que je peux faire’’, c’est le langage qu’il leur a tenu. On a fait toutes les sous-préfectures, les villages, les campements et hameaux. Le ministre a gagné dans presque toutes les sous-préfectures. C’est ça la modernité politique.

 A ces élections locales, le RHDP a presque tout remporté. Sauf le V Baoulé où il a partagé les postes avec le PDCI dont c’était le bastion. Que vous inspire cette autre réalité ?

C’est le résultat de la politique de développement que mène le président Alassane Ouattara depuis plus d’une décennie. Ses réalisations sont visibles partout sur le territoire national.

A ces élections locales, le RHDP a presque tout remporté. Sauf le V Baoulé où il a partagé les postes avec le PDCI Vous voyez la victoire du RHDP comme une prime au travail abattu par le chef de l’Etat ?Bien sûr. C’est une évidence. C’est une prime à la réalité. Le président Ouattara n’est pas dans la démagogie. Il ne chante pas le panafricanisme mais il le traduit en actes. Quel pays peut-il se targuer d’avoir le mieux réalisé l’intégration africaine ? C’est le pays d’Alassane Ouattara qui héberge un très grand nombre d’étrangers qui ne sont soumis à aucune brimade ou mesures vexatoires. Ils sont libres, et de leurs actes, et de leurs opinions. Dans la région ouest-africaine, la base de l’intégration, c’est la Côte d’Ivoire. Ce n’est pas un débat. Et même, les politiciens maliens ou guinéens qui nous insultent à longueur de journée, lorsqu’ils ont des problèmes dans leurs pays, c’est en Côte d’Ivoire qu’ils viennent se réfugier. Je m’adresse surtout à mes compatriotes originaires de ces pays. Je voudrais aussi m’adresser à mon jeune frère Guillaume Soro qui a occupé des fonctions importantes. Il ne peut pas laisser ses partisans diffamer, dénigrer notre pays et ses dirigeants, sans mot dire. On ne sait jamais l’avenir. Un bon politicien n’a pas le droit de dénigrer son pays, quelles que soient ses ressentiments. C’est en cela que je salue la sagesse de Blé Goudé. C’est quelqu’un de mature.

 Réalisée par SYBLY DALLY journaliste

Après les régionales et municipales/Diomande Adama (cadre Rhdp) : “Les Ivoiriens ne veulent plus de politique revancharde” La tribune de l’émission TV ” le journal du dimanche ” a reçu, le dimanche 10 septembre 2023, Adama Diomande, un cadre du parti

La tribune de l’émission TV ” le journal du dimanche ” a reçu, le dimanche 10 septembre 2023, Adama Diomande, un cadre du parti au pouvoir, afin de décrypter l’actualité nationale et internationale.Analysant à froid, les résultats des élections locales, il s’est réjoui de la razzia électorale du Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la paix (Rhdp).” Les Ivoiriens ,dans leur grand ensemble, viennent de démontrer qu’ ils apprécient, fortement, le travail de développement du grand bâtisseur Alassane Ouattara.Il n’est plus besoin d’expliquer que les populations ne veulent plus de politiciens haineux et de politique revancharde.Cette page est tournée”, a t-il dit.

; Pour lui, sous le magister d’Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire est promise à bien meilleur.C’est pourquoi, il voit le président de la République rempiler,en 2025.” Ce sont nos détracteurs qui ont parlé de 3e mandat sinon ,le Président Ouattara est ,tout à fait, éligible pour un autre mandat.En 2025, il pourra se présenter “, a t-il indiqué.A la question de savoir si l’ex président Laurent Gbagbo qui n’est ni électeur , ni éligible pourrait voir sa condition améliorée, l’invité en indiquant n’être pas celui qui prend les décisions, conseille à l’ancien chef de l’État, de s ‘assagir et sortir de la logique belliciste.” Je vous informe que Laurent Gbagbo a été sauvé par Alassane Ouattara,qui est un démocrate.Sinon,il a fait subir trop de choses à la Côte d’Ivoire.Le Président Ouattara saura prendre une décision,en sa faveur, en temps opportun “, estime t

l.;Le Rhdp, il le voit , davantage fort, car en perpétuelle structuration et modernisation.A l’international, Diomande Adama réprouve les coups d État , en cascade dans certains pays de la sous-région comme le Niger,Mali et le Burkina-Faso.” Ce sont des pays qui refusent de tirer les leçons du passé.Sinon,ils sont habitués à des coups d’État et n’avancent pas.La Côte d’Ivoire est un modèle d’intégration et d’ouverture qui la met à l’abri de bien de situations calamiteuses “, souligne t -il .Dans cet entretien qui sera disponible,dans le journal ”Le Mandat” , à paraître le 11septembre 2023, Diomande Adama demande au PDCI, parti Houphouetiste de faire le bon choix , au risque de disparaitre. ” Il est impensable et inopérant que deux partis que tout oppose se mettent ensemble sur la base de la haine pour pouvoir prospérer.Le PDCI doit faire son autocritique “, a t-il conseillé.

En Côte d’Ivoire, le parti au pouvoir largement victorieux des élections locales Le président ivoirien, Alassane Ouattara, vote lors des élections municipales et régionales, à Abidjan

Le RHDP remporte au moins 123 communes et 25 régions, renforçant ainsi sa mainmise sur le pays. Le parti de Laurent Gbagbo, en revanche, sort grand perdant de ces scrutins.

Les élections municipales et régionales du samedi 2 septembre en Côte d’Ivoire s’annonçaient comme un tour de chauffe avant la présidentielle prévue en 2025. L’occasion d’évaluer le climat politique d’un pays dont les scrutins ont souvent été entachés par les violences et de jauger les forces en présence, alors que tous les principaux partis politiques étaient en lice. C’est sans surprise le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) qui a largement remporté les deux scrutins, marqués par une participation de 36,18 % pour les municipales et 44,61 % pour les régionales.

 Selon les résultats compilés de 30 régions (sur 31) et 199 communes (sur 201) que la Commission électorale indépendante (CEI) a annoncés dimanche et lundi, le parti du président Alassane Ouattara est sorti vainqueur dans 123 communes et 25 régions, soit au moins 31 communes et sept régions de plus que lors des précédentes élections locales, en 2018, renforçant ainsi sa mainmise sur le pays.

Dans l’opposition, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), affaibli par le décès le 1er août de son président, l’ancien chef d’Etat Henri Konan Bédié, et le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI), de l’ex-président Laurent Gbagbo, qui s’étaient alliés dans de nombreuses localités, doivent se contenter de 34 communes et quatre régions. Le reste revient à des candidats indépendants. Divisions de l’opposition

Divisions de l’opposition

A deux ans de la présidentielle, le chef de l’Etat, dont les intentions pour 2025 sont encore mystérieuses, avait pris ces deux scrutins très au sérieux, lançant dans la course de nombreux ministres et cadres du parti. Le premier ministre, Patrick Achi, l’a emporté haut la main (68,06 % des voix) dans la région de la Mé (sud-est), dont il est le président du Conseil régional depuis 2013. Le ministre de la promotion de la jeunesse, Mamadou Touré, s’est quant à lui imposé dans le Haut-Sassandra (ouest) face au président de région sortant, Alphonse Djédjé Mady (PDCI), qui s’était allié avec le PPA-CI. Victoire aussi dans le Tchologo (nord) pour le ministre de la défense et frère du président de la République, Téné Birahima Ouattara, qui n’avait pas d’adversaire dans cette région acquise au RHDP.

 Sans surprise, le parti au pouvoir conserve ainsi une grande majorité de ses fiefs du nord. La ministre de l’éducation nationale, Mariatou Koné, l’emporte à Boundiali, tandis que le ministre de l’agriculture, Kobenan Kouassi Adjoumani, s’impose dans le Gontougo. Le RHDP maintient aussi son contrôle sur des localités importantes, comme la station balnéaire de Grand-Bassam et Bouaké, la deuxième ville du pays. Mais c’est à Abidjan que la victoire est la plus notable.

A Yopougon, commune la plus peuplée de Côte d’Ivoire (avec 1,5 million d’habitants) et la plus observée de ces élections, le président de l’Assemblée nationale l’a emporté avec 44 % des suffrages.

Adama Bictogo a su profiter des divisions de l’opposition, majoritaire sur le cumul des voix de ses deux candidats, Michel Gbagbo, le fils de l’ex-président, pour le PPA-CI, et Augustin Dia Houphouët pour le PDCI. Le RHDP a par ailleurs conservé les communes d’Abobo (avec la ministre des affaires étrangères, Kandia Camara), de Treichville et de Koumassi. 

Dans la capitale économique, le PDCI est parvenu à garder les mairies du stratégique Plateau, cœur des affaires et de la vie politique, de la bourgeoise Cocody, où Jean-Marc Yacé a été reconduit, de l’industrielle Marcory et de Port-Bouët, où, comme au Plateau, le perdant, issu du parti au pouvoir, n’a pas tardé à dénoncer des « fraudes massives ». L’ancien parti unique s’est également imposé dans ses bastions traditionnels du pays akan : la capitale Yamoussoukro, Daoukro, fief de feu Henri Konan Bédié, et la région de l’Iffou. Il acquiert aussi, grâce à son alliance avec le PPA-CI, la ville de Toulépleu (ouest).

La surprise est venue de San Pedro (sud-ouest), deuxième ville la plus riche du pays grâce au plus grand port d’exportation de cacao au monde, où la candidate indépendante Nakaridja Kéita Cissé a devancé le maire RHDP sortant. Comme il y a cinq ans, la deuxième « force » du pays n’a pas de parti : les indépendants ont remporté 41 communes et une région. Le plus souvent issus d’un des trois grands partis, dont ils n’ont pas obtenu l’investiture, les 365 candidats indépendants de ce double scrutin ont dû batailler un peu plus que les autres pour s’imposer. Le RHDP et le PDCI leur avaient interdit d’utiliser l’image du parti durant leur campagne et ont exclu temporairement les dissidents (19 du côté du RHDP, 26 du côté du PDCI). Mais comme après chaque élection, les victorieux devraient être courtisés pour rentrer dans le rang.

Aucun mort ni blessé grave Le parti de Laurent Gbagbo, en revanche, sort grand perdant de ces élections, les premières depuis le retour en Côte d’Ivoire de l’ancien président, en juin 2021, après son acquittement par la Cour pénale internationale (CPI), et la création de son nouveau parti, le PPA-CI, en octobre de la même année. Laurent Gbagbo avait abondamment dénoncé, ces derniers mois, des élections biaisées en raison d’irrégularités sur les listes électorales, tout en invitant ses partisans à se rendre aux urnes. Le message, brouillé, n’a manifestement pas trouvé son électorat.

« Globalement, l’opposition a manqué de préparation, note le politologue Arsène Brice Bado.

 Le RHDP était présent dans toutes les communes alors que le PDCI était absent dans une vingtaine de communes et le PPA-CI dans une quarantaine. Mais elle a aussi manqué de stratégie. A Yopougon notamment, si les deux partis s’étaient alliés, ils l’auraient certainement emporté. Désormais, l’heure est pour eux à l’introspection. »

 Pour l’heure, les perdants de Yopougon, Augustin Dia Houphouët et Michel Gbagbo, ont choisi de rejeter les résultats et dénoncé un « hold-up électoral » en raison de l’ouverture tardive de certains bureaux de vote, de dysfonctionnement techniques et de menaces. Une vingtaine de localités, selon l’ONG Aube nouvelle, qui a surveillé le vote, ont été concernées par des violences sur des personnes ou du matériel. Contrairement aux élections locales précédentes ou à la présidentielle de 2020, où 85 personnes avaient été tuées, aucun mort ni blessé grave n’est à déplorer. La CEI s’est ainsi félicité que ces élections aient été « les mieux organisées et où il y a eu le moins d’échauffourées ». Son président, Ibrahime Kuibiert, a appelé, lundi, les candidats à respecter les résultats et à « ne pas s’adonner à la violence ».

Source le Monde / Par Marine Jeannin(Abidjan, correspondance) et Youenn Gourlay(Abidjan, correspondance)

Marahoué/ Élections Régionales 2023 Zuénoula opte pour Epiphane Zoro 

Pour le deuxième jour de campagne, le ministre Epiphane Zoro Ballo, candidat RHDP aux régionales dans la Marahoué a déposé ses valises à  Zuénoula. Où, il  a  animé un meeting, le samedi 26 Août 2023 ,à la gare de Zuénoula  .Ce, en présence des élus, et des cadres du RHDP de la  Marahoué. Malgré la nuit tombée, les rues de la ville étaient animées par une vague de citoyens déterminés, arborant des drapeaux et des pancartes aux couleurs vives de la campagne. Le discours , prononcé par le ministre  Epiphane  Zoro  Ballo lui-même, a captivé l'attention de la foule assemblée.

Il a souligné sa vision pour un avenir meilleur, mettant en avant des propositions concrètes pour le développement économique, l'accès aux soins de santé et l'éducation.La manifestation a été ponctuée par des animations artistiques, des performances musicales et des discours enflammés par des personnalités politiques locales et nationales. Epiphane Zoro a su capter l'attention et l'adhésion des citoyens, grâce à sa plateforme politique centrée sur l'amélioration de la qualité de vie et la promotion du bien-être de tous.

Il n'a manqué de rappeler les projets réalisés par le Président de la République Alassane Ouattara dans la région de la Marahoué.Pour lui, son ambition de travailler pour accroitre les investissements afin de redonner une belle image à la région de la Marahoué.  Aussi a-t-il appelé les populations à le  voter massivement. Bien avant, il à  passé le message dans  les villages de Voueboufla à Paoufla, Minfla et Tibeita.Il est bon de retenir dans tous ces villages les populations ont  accueilli avec allégresse la caravane d’Epiphane, Zoro Ballo, elles ont promis la victoire du maire au soir du 02 septembre dans leurs villages respectives.Epiphane Zoro a reçu l'adhésion massive de toutes les populations. " Nous sommes avec vous et nous sommes convaincus de votre victoire " .En attendant le soir du 02 septembre, les populations visitées se sont   résolument engagées pour une campagne de proximité afin de relever le défi du zéro bulletin nulle dans les urnes.

Par Konan Yao ( Envoyé Spécial dans la Marahoué)