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Mise à jour 11:58 AM UTC, Jun 1, 2025
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Infos Ivoiriennes

Infos Ivoiriennes (188)

Renforcement de la Gouvernance en Afrique : Convergences entre la BAD et la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de Côte d'Ivoire.

Dans un contexte marqué par des crises alimentaires et énergétiques, Epiphane Zoro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de Côte d'Ivoire, a participé en tant que panéliste aux Assemblées Annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD). Au cours de cet événement, il a souligné les synergies entre ses actions en Côte d'Ivoire et le Rapport 2024 sur l’Indice de Fourniture de Services Publics en Afrique (PSDI).

Ce dialogue constructif a pour objectif de renforcer la prise de décision et de proposer des actions concrètes en vue d'améliorer la qualité des services publics, illustrant ainsi l'engagement commun pour un développement durable et inclusif sur le continent africain. La Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance se positionne au cœur des réflexions sur la qualité des services publics en Afrique. Le Président Zoro Bi Ballo Epiphane a pris part au lancement du Rapport 2024 sur l’Indice de Fourniture de Services Publics en Afrique (PSDI), lors des Assemblées Annuelles du Groupe de la Banque africaine de développement, qui se sont tenues à Abidjan. 

Epiphane Zoro Bi Ballo en tant que panéliste lors de l'événement : ### Analyse de Convergence

#### 1. **Contexte et Enjeux** Les préoccupations concernant la qualité de vie des Africains, et en particulier celles des Ivoiriens, sont au cœur des réflexions de Akinwumi Adesina, président sortant de la Banque Africaine de Développement (BAD), et de Epiphane Zoro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de Côte d'Ivoire. Tous deux soulignent l'urgence d'améliorer les services publics face aux crises alimentaires et énergétiques, ainsi qu’aux conséquences du changement climatique. 

 

#### 2. **Rôle de Zoro Bi Ballo en tant que Panéliste** Lors des Assemblées Annuelles de la BAD, Epiphane Zoro Bi Ballo a été invité en tant que panéliste pour partager son avis sur le Rapport 2024 sur l’Indice de Fourniture de Services Publics en Afrique (PSDI). Il a mis en avant les convergences entre son travail en Côte d’Ivoire et les objectifs du PSDI. Son intervention a porté sur l'importance du PSDI comme outil d’aide à la décision, essentiel pour améliorer la gouvernance publique et orienter les politiques publiques. Zoro Bi Ballo a également proposé des mesures d'amélioration spécifiques, enracinées dans le contexte ivoirien, qui peuvent être généralisées à d'autres pays africains. 

#### 3. **Amélioration des Services Publics** Zoro Bi Ballo a souligné qu'une évaluation systématique et holistique des services publics est cruciale pour répondre aux attentes des citoyens. Son engagement en faveur de l'éducation et de la qualité des services publics en général est une proposition qui trouve un écho chez Akinwumi Adesina, renforçant l'idée que ces deux dirigeants sont alignés dans leurs priorités pour un développement durable et inclusif. 

#### 4. **Propositions d’Actions** Les propositions d'Amélioration formulées par Zoro Bi Ballo, telles que l’accent mis sur l'éducation, la souveraineté alimentaire, et l'accès à l’électricité, sont des axes clés qui répondent aux défis identifiés lors du lancement du rapport. Ces initiatives visent à surmonter les obstacles à la transformation économique et sociale de la Côte d’Ivoire, et peuvent également servir de modèle pour d'autres pays africains confrontés à des défis similaires.

#### 5. **Engagements pour l’Avenir** La Côte d'Ivoire, classée 10ᵉ sur 52 pays en matière de performance de gouvernance, illustre les progrès réalisés tout en mettant en lumière les défis à relever. La coopération entre la BAD et la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance est essentielle pour définir des priorités stratégiques et favoriser une mise en œuvre efficace et adaptée des solutions proposées. 

### Conclusion L'analyse de convergence entre Akinwumi Adesina, président sortant de la BAD, et Epiphane Zoro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de Côte d'Ivoire, met en lumière des objectifs et des approches alignés sur la nécessité de reformer les services publics. Le rôle de Zoro Bi Ballo en tant que panéliste lors des Assemblées Annuelles de la BAD a permis d'éclairer les convergences entre son travail en Côte d'Ivoire et les initiatives de la BAD, tout en proposant des recommandations concrètes pour l'amélioration des services. Cette collaboration pourrait être déterminante pour l'avenir de la Côte d'Ivoire et pour l'ensemble du continent africain dans sa quête de développement durable et inclusif.  https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0om3Lsn1ubcKU5DR1ZXJLKka6zJAuhSxoX45MXrT3zy8dtecLsbZApofXynRoUsjFl&id=100050212791645

SONKO À ABIDJAN : LA RÉALITÉ REPREND SES DROITS. Le timing est parfait, presque chirurgical.

Le Premier ministre sénégalais Ousmane SONKO foule le sol ivoirien ce jeudi 29 mai, pour une visite officielle qui, derrière les sourires diplomatiques, résonne comme une leçon de géopolitique appliquée. Ce n’est pas une visite de courtoisie. C’est un réalignement stratégique, une reprise de contact avec le centre de gravité ouest-africain : Abidjan. Ousmane Sonko arrive à Abidjan avec un discours souverainiste dans la valise, mais les poches pleines de contraintes : déficit budgétaire explosif, pressions sociales en gestation, chute de confiance des bailleurs, et un environnement économique rendu toxique par des postures idéologiques irréalistes.

L’homme fort de Ziguinchor se heurte au mur du réel : les slogans ne paient pas les fonctionnaires, les tweets ne construisent pas les routes, les incantations n’attirent pas les investisseurs. Pendant que le Sénégal balbutie sa stratégie régionale, hésitant entre AES et CEDEAO, la Côte d’Ivoire trace sa route. Solide, structurée, calibrée. Elle n’improvise pas, elle anticipe. L’élection à la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD) fut un révélateur brutal. Dakar proposait son candidat. Abidjan, sans bruit, choisit de soutenir la Mauritanie. Résultat : KO diplomatique pour le Sénégal. Ce n’était pas un accident. C’était un signal. La Côte d’Ivoire, en pleine montée en puissance régionale, rappelle aux autres capitales que le leadership ne se décrète pas. Il se mérite, il se construit, il se consolide. La BAD a son siège à Abidjan. Elle est une vitrine de stabilité, de stratégie, d’ancrage international. Ce que Dakar voulait incarner, Abidjan le réalise déjà. Pendant ce temps, les apprentis stratèges de l’AES s’essoufflent. Bamako tangue. Ouagadougou s’enlise. Niamey vacille. La rhétorique anti-française a atteint ses limites : elle n’a ni réduit la pauvreté, ni renforcé la souveraineté, ni stoppé l’insécurité. La Côte d’Ivoire, elle, a avancé sans fracas.

Elle ne s’est pas retirée du système. Elle l’a dominé. Elle n’a pas crié “à bas la France” ; elle a parlé d’égal à égal à Bruxelles, Washington, Pékin. Aujourd’hui, même les plus rebelles commencent à revenir dans les rangs. Et pendant qu’à Bamako on organise des concerts de propagande, à Abidjan on signe des accords bilatéraux. Le jumelage entre Bouaké et Ziguinchor a une portée fraternelle. Certes. Mais ne nous y trompons pas : la vraie signature de cette visite se joue dans les couloirs feutrés de la Primature, pas sur les places publiques. Ce n’est pas une rencontre entre deux villes. C’est une tentative de réancrage du Sénégal dans la réalité ouest-africaine. Une réalité qui se définit de plus en plus… sans lui. Pendant que d’autres rêvaient de renverser la table, Alassane Ouattara a redessiné la carte du pouvoir ouest-africain. Il a transformé Abidjan en centre nerveux du continent : Bourse, BAD, multinationales, start-up, infrastructures…

Il a soutenu des transitions maîtrisées, sans hystérie populiste. Il a vu les “enfants turbulents” de l’AES s’isoler… et il a attendu. Et aujourd’hui, ils reviennent. Un à un. Tête basse. Sonko ne vient pas en chef. Il vient en élève. Lucide. Prudent. Moins vindicatif. Plus réaliste. Il a compris que l’Afrique ne se construit pas sur YouTube, ni sur les chaînes russes, mais dans les centres de décision économiques. À tous les pseudo-panafricanistes qui rêvaient d’un renversement de l’ordre ouest-africain, à tous les trolls pro-russes qui pensaient faire tomber Abidjan comme un château de cartes : il est temps de se réveiller. Abidjan n’a pas fléchi. Elle a absorbé les chocs, renforcé ses alliances, et imposé sa vision. Les autres s’agitent. Elle avance. Les autres crient. Elle bâtit. Les autres rêvent. Elle gouverne. La visite de Sonko, c’est une page nouvelle.

Non pas une reddition, mais une reconnaissance implicite des équilibres géostratégiques en place. Le Sénégal cherche à retrouver sa crédibilité. Et pour cela, il vient s’inspirer… à la source. Et pendant que les apprentis révolutionnaires tournent en rond dans leurs alliances creuses, la Côte d’Ivoire, elle, attire, apaise, influence. La vraie puissance, c’est celle qu’on consulte. Sonko a compris. Il est venu voir le maître du jeu. Pas pour lui faire la morale, mais pour comprendre la partition.

Signé : MO Hamed, patriote intransigeant au service de la vérité affranchi des dogmes…

Sidi Ould Tah élu neuvième président du Groupe de la Banque africaine de développement

Sidi Ould Tah a été élu aujourd’hui président du Groupe de la Banque africaine de développement lors des Assemblées annuelles de la Banque qui se tiennent à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

M. Tah, de nationalité mauritanienne, a été élu par le Conseil des gouverneurs de la Banque, composé des ministres des Finances et de l’Économie ou des gouverneurs des banques centrales des 81 pays membres régionaux et non régionaux du Groupe de la Banque. Ce Conseil est la plus haute instance décisionnelle du Groupe de la Banque.

Les résultats ont été annoncés par Nialé Kaba, ministre de l'Économie, du plan et du développement de la Côte d’Ivoire et présidente du Conseil des gouverneurs du Groupe de la Banque, le candidat élu devant obtenir au moins 50,01 % à la fois des voix régionales et non régionales.

 S'adressant aux gouverneurs de la Banque et aux médias peu après l'annonce des résultats, M. Tah a lancé: "Au travail maintenant! Je suis prêt."

 M. Tah possède plus de 35 ans d’expérience en finance africaine et internationale. Il a présidé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) pendant dix ans à partir de 2015, où il a mené une transformation complète qui a quadruplé le bilan de la banque, lui a valu une notation AAA et l’a positionnée parmi les banques de développement les mieux notées en Afrique.

 S'adressant aux gouverneurs de la Banque et aux médias peu après l'annonce des résultats, M. Tah a lancé: "Au travail maintenant! Je suis prêt."

Ancien ministre de l’Économie et des Finances de la Mauritanie, M. Tah a occupé des postes de haut niveau dans des institutions multilatérales et a dirigé des opérations de réponse à des crises, de réforme financière et de mobilisation innovante de ressources pour l’Afrique.

 Le comité directeur du Conseil des gouverneurs a reçu et approuvé un total de cinq candidats avant la date de clôture du 31 janvier 2025. La liste des candidats a été officiellement annoncée le 21 février 2025.

Les autres candidats à l’élection étaient :

Amadou Hott (Sénégal) Samuel Maimbo (Zambie) Mahamat Abbas Tolli (Tchad) Bajabulile Swazi Tshabalala (Afrique du Sud) M. Tah prendra ses fonctions le 1er septembre 2025, pour un mandat de cinq ans, au terme du deuxième mandat du président actuel, M. Akinwumi Adesina.

 Les anciens dirigeants de la Banque africaine de développement depuis sa création en 1964 sont :

Mamoun Beheiry (Soudan), 1964-1970 Abdelwahab Labidi (Tunisie), 1970-1976 Kwame Donkor Fordwor (Ghana), 1976-1980 Willa Mung'Omba (Zambie), 1980-1985 Babacar N’diaye (Sénégal), 1985-1995 Omar Kabbaj (Maroc), 1995-2005 Donald Kaberuka (Rwanda), 2005-2015 Akinwumi Adesina (Nigéria), 2015-2025. L’élection d’un nouveau président intervient à un moment crucial des six décennies d’existence du Groupe de la Banque. L’Afrique a su rester résiliente malgré les chocs climatiques, les perturbations économiques et l’évolution du paysage géopolitique, mais elle doit accélérer ses efforts, sous peine de prendre du retard dans la réalisation de l’Agenda 2063 de l’Union africaine et des Objectifs de développement durable, résumés dans les « High 5 » du Groupe de la Banque.

 Les Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque africaine de développement se déroulent du 26 au 30 mai à Abidjan, en Côte d’Ivoire, sous le thème « Tirer le meilleur parti du capital de l’Afrique pour favoriser son développement ».

 Le Groupe de la Banque africaine de développement comprend trois entités : la Banque africaine de développement, le Fonds africain de développement et le Fonds spécial du Nigéria. Ses pays actionnaires comprennent 54 pays africains, encore appelés pays membres régionaux, et 27 pays non africains, également appelés pays membres non régionaux.

Ouattara, Thiam, Gbagbo… Les mystères d’Abidjan – par Marwane Ben Yahmed "J A"

L’affiche de l’élection présidentielle d’octobre demeure incertaine, mais il ne fait aucun doute que l’opposition ivoirienne devra faire son aggiornamento si elle compte peser face au RHDP d’Alassane Ouattara. Et le temps est déjà compté.

À seulement cinq mois de la prochaine présidentielle en Côte d’Ivoire, rarement l’horizon politique aura été aussi nébuleux, soulevant plus d’interrogations qu’apportant de certitudes. Le chef de l’État sortant sera-t-il candidat ? Qui, dans les rangs de l’opposition, contestera au Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) son hégémonie ? Le scrutin sera-t-il apaisé ou, au contraire, faut-il s’attendre à des tensions, comme en 2020 ? Alassane Ouattara, au pouvoir depuis 2011, n’a pas encore annoncé sa candidature pour un quatrième mandat. Il n’empêche, le RHDP le considère comme son « candidat naturel », et le congrès du parti, à la fin de juin, devrait entériner ce choix qui n’en est pas vraiment un puisqu’il n’y a pas de plan B. Sauf coup de théâtre, Alassane Ouattara devrait ensuite se déclarer officiellement à la mi-juillet, probablement le 15. Il ne pourra guère entretenir le suspense plus longtemps, la campagne des parrainages débutant le 20.

Pour l’instant, sans Tidjane Thiam Si le pouvoir avance comme un bloc apparemment soudé autour d’un chef unique et incontesté, dont la succession n’est toujours pas à l’ordre du jour, l’opposition, elle, offre le spectacle d’une mosaïque éclatée, traversée de rivalités anciennes, de fractures idéologiques, de rancunes personnelles et souffrant d’une absence de coordination stratégique. La pluralité s’y confond avec la dispersion, et les projets avec les ego. Elle semble être le théâtre d’une triple guerre de succession : celle du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), celle du Front populaire ivoirien (FPI) et celle, plus large, de la mouvance des anciens du pouvoir déchu en 2011. Après la mort d’Henri Konan Bédié, en 2023, l’ancien parti unique s’est retrouvé à un carrefour. L’espoir d’un renouveau s’est un temps cristallisé autour de Tidjane Thiam, l’ancien patron de Crédit Suisse, revenu sur la scène politique avec le prestige d’un outsider à la stature internationale, s’emparant de la présidence du PDCI à la surprise générale et de manière éclatante. Mais sa candidature a été empêchée par la justice : Thiam est radié des listes électorales au motif qu’il a perdu la nationalité ivoirienne en obtenant, en 1987, la nationalité française. Une décision perçue comme un règlement de comptes par l’intéressé comme par ses partisans. Privé de son champion, le PDCI semble vaciller.

Jean-Louis Billon, autre prétendant, s’est lancé dans la course, mais sans bénéficier d’une véritable dynamique. Le parti paie aujourd’hui le prix d’une transition menée sans doute trop rapidement et de manière guère consensuelle, malgré les apparences. Il reste une force politique structurée, dotée de nombreux cadres, d’un ancrage historique et d’une symbolique puissante. Lui manque une vision, qui fédérerait ses troupes. Gbagbo joue la carte de la victimisation Acquitté par la Cour pénale internationale (CPI) et de retour au pays depuis 2021, Laurent Gbagbo demeure une figure polarisante. Pour ses partisans, il incarne la résistance, la souveraineté, la rupture avec le néolibéralisme prôné par Alassane Ouattara. Ses détracteurs, eux, n’ont pas oublié le règne des Refondateurs à l’époque où le FPI était au pouvoir, et la tragique crise postélectorale de 2011. L’ancien président se heurte surtout à une condamnation à vingt années de prison dans l’affaire du casse de la BCEAO, ce qui bloque juridiquement sa candidature.

Gbagbo le sait, et joue la carte de la victimisation. Il dénonce une « justice instrumentalisée » et une « confiscation du pouvoir ». Son Parti des peuples africains –Côte d’Ivoire (PPA-CI), fondé après qu’il a abandonné le FPI à Pascal Affi N’Guessan, mobilise, organise des meetings qui attirent les foules, comme à Dabou le 12 avril. Il reste cependant dans une étrange posture, à mi-chemin entre le boycott et les starting- blocks. Sa stratégie est incertaine, son horizon obscurci par les institutions qu’il conteste. Dans un autre registre, Simone Gbagbo, devenue présidente du Mouvement des générations capables (MGC), brigue également la magistrature suprême. L’ex- première dame veut incarner la rupture avec le passé, y compris avec son ex-mari. Elle dénonce le verrouillage du système électoral, mais pâtit d’un certain isolement. Sa base militante, réelle, est cependant restreinte, et sa candidature divise plus qu’elle ne rassemble.

Épée de Damoclès judiciaire sur Soro et Blé Goudé Face à cette dispersion, une tentative de front uni a vu le jour : la Coalition pour l’alternance pacifique en Côte d’Ivoire (CAP-CI). Elle regroupe 25 partis et organisations politiques, dont le PDCI, le FPI, le MGC et d’autres formations de moindre importance. Cette coalition, créée en mars, entend présenter une candidature commune et obtenir des réformes urgentes du processus électoral. Mais le PPA-CI de Gbagbo refuse d’en faire partie tant que les règles du jeu lui sembleront biaisées. Résultat : la CAP-CI apparaît comme une plateforme sans colonne vertébrale. Son succès dépendra de sa capacité à désigner un candidat unique, crédible et fédérateur, ce qui semble pour l’instant peu probable. Un autre facteur handicape lourdement l’opposition : l’épée de Damoclès judiciaire qui pèse sur certains de ses leaders. Outre Gbagbo, plusieurs figures ont été écartées par la justice ou sont poursuivies pour incitation à la révolte ou pour diffamation. Il en va notamment ainsi de Guillaume Soro ou de Charles Blé Goudé. L’opposition y voit une stratégie d’asphyxie légale, qui vise à décourager toute contestation et à disqualifier des adversaires. Cela nourrit un sentiment de colère dans certains quartiers et dans certains fiefs politiques, mais ne débouche pas sur une mobilisation à plus grande échelle.

Plus inquiétant, et au-delà des personnes, l’opposition souffre d’un manque d’idées. Aucun aggiornamento intellectuel n’est en vue… Hormis des slogans sur la réforme de la commission électorale ou des promesses de « rupture », peu de projets structurés ont été proposés. Aucun programme économique n’a émergé. Aucun projet de gouvernance n’a été avancé ni même esquissé. Il faut conquérir le pouvoir, certes, mais pour quoi faire ? Mystère. Face à un RHDP qui, lui, peut se prévaloir d’un bilan – fût-il contesté – et d’une organisation disciplinée, l’opposition peine, faute de narratif puissant, à toucher l’imaginaire collectif. Elle parle à une base et à une élite militantes déjà conquises, mais rarement à la jeunesse, qui aspire à autre chose qu’à de sempiternelles querelles byzantines. Entre les invalidations de candidatures, les rivalités intestines, les blocages institutionnels et l’absence de figure centrale consensuelle, l’opposition ivoirienne entre dans la campagne présidentielle affaiblie et en ordre dispersé. Son seul espoir réside dans une prise de conscience collective : l’alternance n’est pas un trophée individuel, mais un projet de société.

 

OUATTARA, LE STRATÈGE DE L’OMBRE : QUAND LA CÔTE D’IVOIRE RÉÉCRIT LA GÉOPOLITIQUE DU SAHEL !

De l’isolement à l’influence : comment Abidjan a fait plier Niamey et prépare le grand retour du Niger dans le camp de la raison !

“L’art de la paix… par la guerre des nerfs” Sous le soleil brûlant d’Abidjan, une rencontre secrète s’est jouée. Une rencontre aux allures d’échecs géopolitiques où chaque pion, chaque cavalier, chaque fou a été placé méthodiquement. Ce 26 mai 2025, dans les coulisses du pouvoir, le Président Alassane Ouattara, fin stratège, héritier des tactiques diplomatiques d’Houphouet-Boigny Félix, a frappé un coup de maître : il a reçu Ali Zeidine, Premier ministre du Niger sous Tiani… mais seulement après avoir écrit les règles de la rencontre. L’Alliance des États du Sahel (AES) est aujourd’hui une coque vide. Les coups de menton ne masquent plus la détresse économique des juntes du Mali, du Burkina et du Niger. Leurs caisses sont vides, leurs alliés russes sont défaillants, et leur peuple, épuisé. Le Niger, isolé, affamé financièrement et diplomatiquement, sait que le temps joue contre lui. C’est dans cette impasse stratégique que Mahamadou Issoufou, ex-président nigérien fin négociateur et encore influent à Niamey avec des amis à Paris, Washington, active ses réseaux. Il joue les émissaires de l’ombre, manœuvrant discrètement entre coulisses africaines et salons feutrés du FMI.

Le deal était clair, net, à la ivoirienne : Condition sine qua non posée par Alassane Ouattara : La libération immédiate de Mohamed Bazoum, président légitime du Niger, en échange d’un feu vert diplomatique auprès du FMI, BAD, Banque mondiale et autres institutions de Bretton Woods.

 Un “non négociable” qui a fait transpirer le camp Tiani. Mais l’étau économique se resserrait. Les comptes nigériens sont presque vides. Les sanctions de la Ecowas - Cedeao n’ont pas été levées. Le Niger a plié. Avec une finesse d’esprit rarement saluée à sa juste valeur, OUATTARA n’a ni vociféré, ni menacé. Il a joué le temps, les leviers économiques, l’isolement stratégique du Niger. Il a agi comme dans L’Art de la Guerre de Sun Tzu : « Le plus grand des stratèges est celui qui gagne sans combattre. » En refusant tout contact officiel avec la junte tant que BAZOUM était en détention, il a renvoyé le Niger dans ses contradictions, forçant Tiani à revenir discrètement par la porte de derrière, par un Premier ministre qui n’est là que pour sauver les meubles. Préparez-vous à un revirement historique. Dans les semaines à venir : Bazoum sera libéré discrètement, sous prétexte « humanitaire » ou « d’apaisement ». Le Niger va se détacher progressivement de l’AES, abandonnant Goïta (Mali) et Traoré (Burkina Faso) à leurs illusions de souveraineté de façade. L’axe Abidjan - Niamey - Conakry va se solidifier, réaffirmant la centralité ivoirienne dans la nouvelle architecture ouest-africaine. Contrairement à ses collègues, Mamadi Doumbouya toujours refusé de plonger dans l’idéologie AES. Discret, calculateur, il consulte Ouattara régulièrement, demandant conseil, s’inspirant des modèles économiques et sécuritaires ivoiriens.

Aujourd’hui, des entreprises ivoiriennes participent activement à la reconstruction économique de la Guinée : BTP, Sécurité, Transport, Finances. La « Côte d’Ivoire Inc. » devient un hub d’influence douce. La Guinée n’est pas un vassal, mais un allié pragmatique. Ce coup diplomatique enterre les chimères des influenceurs de salon. Guillaume Soro, qui s’était réfugié au Niger, voit son tapis rouge se transformer en piège à ours. KEMI SEBA, Nathalie Yamb, Franklyn et autres Tiktokeurs de merde d panafriconnisme spectacle devront bientôt se chercher un nouveau port d’attache. Il faut rendre hommage au président OUATTARA, discret mais implacable, fin tacticien qui : A isolé l’AES sans déclarer une seule guerre. A renforcé son influence sous-régionale par le poids de l’économie, du crédit, du bon sens stratégique. Et s’apprête à ramener BAZOUM, humiliant au passage les apprentis putschistes qui croyaient jouer aux révolutionnaires.

À voir le visage défait du Premier ministre nigérien, on croirait contempler la statue brisée d’un général qui vient de découvrir, trop tard, que la bataille avait déjà été jouée la veille et perdue dans le silence. L’homme ne parle plus. Il rumine. Il digère mal l’évidence : la partie est finie. Ce n’était pas un bras de fer, c’était une danse. Et ADO, fidèle à lui-même, y est entré non comme un adversaire, mais comme un chorégraphe. Souriant, détendu, presque paternel, il avançait ses pièces avec la lenteur du sage et la légèreté du prophète. Ironie du sort : ceux qui pensaient le piéger se sont retrouvés enfermés dans leur propre stratagème. Ils ont cru à un affrontement frontal ; ils ont reçu une leçon de stratégie byzantine. Ils ont espéré un duel ; ils ont assisté à une démonstration. L’histoire retiendra moins la chute de leurs illusions que le calme olympien avec lequel ADO, tel un vieux roi stoïcien, a refermé la trappe sous leurs pieds.

 Échec et mat. Non pas dans le bruit, mais dans la pure élégance du geste. L’orgueil blessé du Premier ministre nigérien devient alors un symbole : celui de ceux qui confondent agitation et puissance, diplomatie et spectacle, politique et théâtre d’ombres. Car pendant que d’autres jouaient aux révolutionnaires de pacotille, ADO écrivait la partition à l’encre invisible. En conclusion : Le Niger va recracher ce qu’il a vomi, renouer avec ses partenaires historiques, sortir de l’obscurité AES.

 Et tout cela, grâce à une rencontre préparée depuis des semaines par des émissaires discrets, sous l’impulsion d’un homme qui sait quand parler et quand se taire. OUATTARA n’a pas besoin de frapper pour se faire entendre. Il gouverne avec l’arme la plus puissante d’Afrique aujourd’hui : la stabilité.

Signé : MO Hamed, patriote intransigeant au service de la vérité affranchi des dogmes.

Les déguerpissements de CISSE BACONGO ont, fort heureusement, entraîné ZERO morts et ZERO blessés, et ces personnes demeurent encore en vie.

Le lendemain des éboulements de terrain au quartier Mossikro, le Ministre Gouverneur du Grand Abidjan a exprimé, à travers une photo et des mots, son état d'esprit : "Franchement, je ne suis pas très causant ce matin. Prompt rétablissement à tous les blessés. J’exprime toute ma compassion aux familles endeuillées."

Je partage son indignation légitime. Un enjeu majeur réside dans l'opération de déguerpissement récemment suspendue en raison d'interventions malveillantes de certains acteurs. En tant que ministre-gouverneur, Cissé Ibrahima Bacongo a reçu pour mandat du Président de la République de mener cette opération afin de garantir la sécurité des populations vulnérables. Cependant, les manigances de certains politiciens mettent en péril cette nécessité cruciale de sécurité, dévoilant ainsi un contraste frappant entre les intérêts personnels et les responsabilités publiques.

Ces politiciens se prétendent défenseurs des droits des plus démunis, mais ils alimentent en réalité une vision déformée et clientéliste qui replonge les populations dans l’ignorance et la dépendance. En proposant des solutions temporaires et des promesses illusoires, ils conditionnent la société dans une dynamique négative où le court terme l'emporte sur la durabilité.

Le manque d’éducation et de sensibilisation face aux dangers inhérents et à la nécessité d'abandonner les zones à risque est une conséquence directe de cette manipulation.

La récente tragédie survenue à Mossikro, où des pluies torrentielles ont causé un éboulement entraînant 5 morts et 7 blessés, met tragiquement en lumière cette réalité alarmante.

 

Le Président Alassane Ouattara et le Gouverneur Cissé Bacongo ont pris une décision drastique pour éliminer les zones à risque en préservant la sécurité des populations.

**Dénonciation des Malfrats Intellectuels et Politiciens à l’Œuvre : Ignorance et Pauvreté au Cœur de Nos Villes**

Dans un contexte où la dignité humaine et le bien-être des plus démunis devraient être une priorité, il est regrettable d’observer que certains politiciens, tout en se parant de vertus d’honnêteté et de conscience sociale, s’adonnent à des pratiques douteuses qui favorisent l’ignorance et la pauvreté. Ces malfrats intellectuels exploitent leur notoriété et le clientélisme politique pour maintenir les plus vulnérables dans un cycle de précarité.

La récente tragédie survenue à Mossikro, où des pluies diluviennes ont provoqué un éboulement faisant 5 morts et 7 blessés, illustre tragiquement cette réalité. Alors que la ministre de la Cohésion nationale, Myss Belmonde Dogo, a exprimé sa compassion et a appelé la population à fuir les zones à risque, il est impératif de réfléchir à la responsabilité de ceux qui, à des postes de pouvoir, usent de leur influence pour faire abstraction des véritables enjeux sociétaux. Ce drame aurait pu être évité si des mesures préventives avaient été mises en œuvre plutôt que d'être continuellement différées au profit de jeux d'influence politiques.

Un des enjeux majeurs est l'opération de déguerpissement récemment interrompue par des acteurs malhonnêtes. En tant que ministre-gouverneur, Cissé Ibrahima Bacongo avait reçu la mission du Président de la République de mener cette opération afin d’assurer la sécurité des populations en situation précaire. Cependant, face aux manigances de certains politiciens, cet impératif de sécurité a été mis en péril, révélant ainsi la discordance entre les intérêts personnels et les responsabilités publiques.

Ces politiciens se présentent comme des défenseurs des droits des plus démunis, mais en réalité, ils alimentent une vision réductrice et clientéliste, en replongeant les populations dans l’ignorance et la dépendance. En offrant des solutions temporaires et des promesses sans lendemain, ils placent la société dans une spirale négative où le court terme prime sur la durabilité. Le manque d’éducation et de sensibilisation face aux dangers et à la nécessité de quitter les zones à risque est le résultat direct de cette manipulation.

En appelant à suivre les alertes des autorités compétentes, la Ministre Dogo souligne l'importance d'une prise de conscience collective. Cela doit s’accompagner d’actions concrètes de la part des politiques pour garantir l'accès à des informations pertinentes et à des formations sur la sécurité et la prévention des risques. Mais encore faut-il que ces acteurs choisissent d'agir dans l'intérêt général au lieu de se compromettre avec des lobbies qui visent avant tout à maintenir l'ignorance pour mieux manipuler. La lutte contre la pauvreté et l’ignorance ne peut se faire sans une véritable volonté politique tendant à réformer les pratiques néfastes qui entravent le développement. Il est temps de dénoncer ces malfrats intellectuels et de soutenir les politiciens véritablement conscients des enjeux sociaux.

 La crédibilité et l'intégrité doivent être au cœur de la mission politique, et toute interruption de progrès doivent être condamnées avec vigueur. Pour terminer, nous adressons une pensée émue aux familles endeuillées et aux blessés de Mossikro. Ce drame a révélé la nécessité urgente d'éveiller les consciences et de redéfinir les priorités de politique publique, loin des intérêts personnels et des jeux de pouvoir. À l’heure où nous faisons face à des défis comme les catastrophes naturelles, il est impératif de placer l’humanité et la justice sociale au centre de notre action collective.

AFFAIRE ALINO FASO : LE COMPLOT DU SIÈCLE ET LA DÉCHÉANCE D’UNE TRAHISON ORGANISÉE 🇨🇮🔥🇧🇫

« J’ai reçu 20 millions de FCFA… » Voilà les mots glaçants qui résonnent encore dans la salle d’audition. Alino Faso, de son vrai nom Traoré Alain, n’est plus une rumeur. Il est le maillon clé d’un projet d’assassinat présidentiel fomenté depuis les salons obscurs de certaines milices hybrides, entre nostalgies de rébellions et ambitions géopolitiques troublantes.

Lors de son audition devant les juges la semaine dernière, Alino a confirmé avoir reçu 20 millions de francs CFA en plusieurs tranches, dans un deal verrouillé par des émissaires liés à Guillaume Soro, ancien Premier ministre en fuite, et aujourd’hui associé à toutes les manœuvres subversives contre la République. Mais ce n’est pas tout : sur ordre de ses commanditaires, Alino a loué un appartement à la Riviera Golf précisément pour espionner les allées et venues du président Alassane Ouattara, observer ses horaires, ses escortes, ses itinéraires. Il servait d’yeux et d’oreilles pour un plan d’attaque millimétré contre le cortège présidentiel. Ce n’est pas une affaire de faits divers. C’est un casus belli, un cas d’école pour toute République qui tient à son honneur. Pourquoi un Burkinabè dans une affaire ivoirienne ? Parce que l’affaire dépasse les frontières. Elle révèle l’existence d’un axe informel entre certaines factions du pouvoir burkinabè actuel par l’intermédiaire de KASSOUM TRAORÉ, le petit frère, du petit Ibrahim Traoré, voyou ex-pensionnaire de la maison des fous de Ouagadougou et chef putschiste de la transition moribonde, et des éléments dormants de la galaxie pro-Soro, qui rêvent encore d’un retour insurrectionnel.

La Riviera Golf comme zone ciblée ? Ce n’est pas un hasard. Cette zone ultra-sécurisée symbolise le cœur du pouvoir présidentiel. Un attentat là-bas aurait été un séisme national et international. 20 millions pour tuer un président ? Voilà où mène le mercenariat politique du XXIe siècle. Des montants dérisoires pour des missions dévastatrices, dans un monde où l’IA, la désinformation et les conflits hybrides remplacent les guerres conventionnelles. L’affaire Alino Faso est le miroir d’un nouveau type de guerre contre la Côte d’Ivoire : Numérique, via les fake news propagées depuis les pays voisins par des intelligences artificielles détournées ; Territoriale, avec des opérations téléguidées depuis des capitales complices ou impuissantes ; Identitaire, par l’instrumentalisation d’enfants nés sur le sol ivoirien mais éduqués dans la haine de leur pays d’accueil. Revoir notre politique migratoire et de nationalisation : on ne peut plus se permettre d’accueillir des individus qui retournent l’ascenseur en posant des bombes. Renforcer les services de contre-espionnage : car si Alino n’avait pas été arrêté, c’est peut-être d’un deuil national qu’on parlerait aujourd’hui. Interpeller le Burkina Faso officiellement : le silence de Ouaga est assourdissant. Le peuple ivoirien mérite une explication diplomatique claire.

Suivre les flux financiers transfrontaliers : qui finance ces opérations ? À travers quels circuits ? Alino Faso a demandé pardon. Mais son pardon n’efface pas la peur, la colère, la trahison ressenties par tout un peuple. Il a tenté de tuer non seulement un homme, mais l’espérance de toute une Nation. Que ce soit clair : quiconque touchera à la stabilité de la Côte d’Ivoire verra la Nation entière se dresser. Que ce soit à Ouagadougou, à Accra ou à Paris, nous ne reculerons pas. L’affaire Alino Faso n’est pas une fin. C’est le début d’un réveil ivoirien. Un moment d’introspection et d’action. Car l’avenir ne se construit pas dans les caves de l’ingratitude, mais dans la lumière de la souveraineté retrouvée. Vigilance. Unité. Fermeté. L’heure n’est plus au doute. L’heure est à la riposte.

Signé : MO Hamed, patriote intransigeant au service de la vérité affranchi des dogmes.

La lutte contre la corruption constitue un défi complexe et de longue durée.

Epiphane Zoro Bi Ballo s'engage résolument dans cette mission , la dénonciation contre la corruption n'est plus un tabou mais un impératif citoyen. Son action, soutenue par le Président de la République Alassane Ouattara, ouvre une voie nouvelle pour une gouvernance transparente, où la reddition de comptes devient une norme sans compromis, telle qu'elle lui a été confiée par le Président de la République Alassane Ouattara.


Dans le contexte actuel, où la transparence et la responsabilité deviennent des exigences incontournables pour une bonne gouvernance, il est évident que la corruption représente un obstacle majeur au développement économique et social d'un pays. Chaque acte de corruption non seulement entache la réputation des institutions, mais prive également les citoyens de leurs droits fondamentaux et de l'accès à des services de qualité. Zoro Bi Ballo, fort de son expérience et de sa détermination, ne recule devant aucun obstacle dans cette quête contre les pratiques douteuses et les abus de confiance qui gangrènent notre société. En effet, il sait très bien que la lutte contre la corruption requiert non seulement une volonté politique forte, mais également une mobilisation citoyenne, des réformes institutionnelles et une coopération internationale. Dans son approche, il préconise une stratégie multidimensionnelle, intégrant la prévention, la détection des fraudes, et la répression des actes corruptifs. Pour réussir dans cette entreprise, Zoro Bi Ballo mise sur la sensibilisation des citoyens aux enjeux de la corruption.

À travers une série de campagnes d’information et d’éducation, il aspire à éveiller les consciences sur les effets néfastes de la corruption, tant sur l'économie que sur les relations sociales. Parce que la corruption ne se limite pas à des affaires d’argent, mais concerne également la confiance que les citoyens accordent à leurs institutions. En renforçant cette confiance, on peut espérer réduire les opportunités de corruption. En outre, la collaboration avec les organismes de la société civile et les médias est essentielle. Zoro Bi Ballo sait que ces entités jouent un rôle crucial dans la dénonciation des actes répréhensibles et dans la promotion de la transparence. En s'associant à ces acteurs, il cherche à construire un environnement où la reddition de comptes devient la norme et où chaque citoyen peut jouer un rôle actif dans la surveillance des affaires publiques. Enfin, le cadre législatif est un élément clé dans cette lutte. Zoro Bi Ballo encourage la mise en place de lois strictes et de mécanismes juridiques permettant de sanctionner les responsables de corruption. Il plaide pour une refonte des lois existantes, afin de rendre plus difficile la persistance de telles pratiques. En renforçant les structures judiciaires et en garantissant l'indépendance des magistrats, il envisage d’installer un climat de confiance où l'application de la loi est équitable et sans favoritisme. Les défis à relever sont immenses, mais Zoro Bi Ballo est convaincu que par le travail acharné, l’intégrité et la persistance, il est possible de changer le cours des choses.

Le chemin est semé d’embûches, mais chaque étape franchie, chaque progrès réalisé est une victoire contre cette pandémie de corruption. C’est avec cet esprit combatif et cette détermination sans faille qu’il s'engage à poursuivre cette mission au service de la nation et de ses citoyens. Au-delà des discours et des promesses, il est requis de traduire chaque action en résultats tangibles, car ce sont ces résultats qui financeront un avenir meilleur, plus transparent et plus juste pour les générations à venir. La relève est entre les mains de leaders comme Zoro Bi Ballo, mais également entre les mains de chaque citoyen, car chacun a un rôle à jouer dans la création d’une société où la corruption n’a pas sa place. Ensemble, ils doivent tracer une voie vers l'intégrité et la valorisation des principes d'éthique et de responsabilité publique, dans l’intérêt supérieur du pays, pour le bien-être de tous.

𝐈𝐍𝐃𝐈𝐂𝐄 𝐃𝐄 𝐏𝐄𝐑𝐂𝐄𝐏𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐑𝐑𝐔𝐏𝐓𝐈𝐎𝐍 (𝐈𝐏𝐂) 𝟐𝟎𝟐𝟒 : 𝐋𝐀 𝐂𝐎̂𝐓𝐄 𝐃'𝐈𝐕𝐎𝐈𝐑𝐄 𝐆𝐀𝐆𝐍𝐄, 𝐄𝐍 𝐔𝐍 𝐀𝐍, 𝟓 𝐏𝐎𝐈𝐍𝐓𝐒 𝐄𝐓 𝟏𝟖 𝐏𝐋𝐀𝐂𝐄𝐒 𝐒𝐞𝐥𝐨𝐧 𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 ...

La Côte d'Ivoire a enregistré une avancée significative au cours de l'année écoulée, gagnant cinq points et dix-huit places dans l'Indice de Perception de la Corruption (IPC) pour l'année 2024, un résultat qui témoigne de l’engagement sincère et déterminé du pays dans la lutte contre la corruption. Cette amélioration notable dans le classement, révélée par Transparency International, n'est pas simplement un chiffre, mais un reflet des efforts collectifs déployés par le gouvernement, les institutions et la société civile pour construire un environnement plus transparent et responsable.

Cet avancement est le fruit d’une série de réformes et d'initiatives lancées pour renforcer l'intégrité des institutions publiques. Parmi celles-ci, on peut citer l’implémentation de politiques visant à accroître la responsabilité des responsables publics, ainsi que la mise en place de mécanismes de suivi plus efficaces pour surveiller les dépenses publiques et la gestion des ressources. L’État a également renforcé les capacités judiciaires pour traiter plus efficacement les affaires de corruption et tenir les coupables responsables de leurs actes.

De plus, cette avancée dans l'IPC 2024 est le résultat de la collaboration entre divers acteurs, tant nationaux qu'internationaux. Les partenaires au développement, les organisations non gouvernementales (ONG) et la société civile ont joué un rôle primordial dans cette dynamique, en éduquant la population sur les dangers de la corruption et en proposant des solutions concrètes pour l'éradiquer. Les campagnes de sensibilisation ont permis de mobiliser les citoyens autour de cette problématique, les incitant à dénoncer les actes de corruption et à exiger plus de transparence de la part de leurs dirigeants.

Il est également important de souligner l'impact positif de cette performance sur l'économie du pays et la confiance des investisseurs. En améliorant son indice de perception de la corruption, la Côte d'Ivoire se positionne comme une destination plus attrayante pour les investissements étrangers. Les entreprises, qu'elles soient locales ou internationales, sont plus encline à s'implanter dans un environnement où la corruption est moins omniprésente, car cela signifie moins de risques et une meilleure prévisibilité dans les affaires. Cette confiance accrue peut mener à la création de nouveaux emplois et à un renforcement de la croissance économique, favorisant ainsi le développement durable du pays.

Cependant, il est essentiel de ne pas se reposer sur ses lauriers. Même si ces progrès sont remarquables, ils doivent être consolidés par des actions continues et des engagements à long terme. La lutte contre la corruption nécessite une vigilance constante et un engagement renouvelé de toutes les parties prenantes. Le gouvernement devra poursuive les réformes encore nécessaires pour continuer à avancer et à garder la corruption à distance. Cela inclut l’amélioration des lois et règlements en matière de transparence et d’éthique, ainsi que le financement des institutions chargées de leur application.

En outre, il est crucial d'impliquer tous les segments de la société dans cette lutte. Chaque citoyen a un rôle à jouer, que ce soit par le biais d’initiatives locales, de signalements d’infractions ou de participations aux processus démocratiques. En renforçant l'implication des citoyens, on favorise une culture de la responsabilité et de la transparence, contribuant ainsi à une société plus juste et équitable.

La Côte d'Ivoire se trouve à un tournant décisif. Grâce aux efforts déployés jusqu'à présent, elle a les bases nécessaires pour continuer à progresser dans la lutte contre la corruption et à renforcer la confiance de ses citoyens et des investisseurs. En maintenant cet élan, le pays peut aspirer à réaliser un véritable changement, garantissant un avenir meilleur pour les générations à venir.

Ainsi, alors que nous célébrons ces avancées dans l'IPC 2024, nous devons également nous engager à poursuivre ces efforts, à soutenir les initiatives de lutte contre la corruption et à bâtir un pays où la transparence et l'intégrité sont au cœur de toutes les actions. C'est dans cette direction que la Côte d'Ivoire peut véritablement émerger comme un modèle de gouvernance et de développement dans la région. Ensemble, en tant que citoyens unis, nous pouvons jouer un rôle actif dans cette transformation et porter notre pays vers un avenir radieux et prospère.

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