AFFAIRE ALINO FASO : LE COMPLOT DU SIÈCLE ET LA DÉCHÉANCE D’UNE TRAHISON ORGANISÉE 🇨🇮🔥🇧🇫
« J’ai reçu 20 millions de FCFA… » Voilà les mots glaçants qui résonnent encore dans la salle d’audition. Alino Faso, de son vrai nom Traoré Alain, n’est plus une rumeur. Il est le maillon clé d’un projet d’assassinat présidentiel fomenté depuis les salons obscurs de certaines milices hybrides, entre nostalgies de rébellions et ambitions géopolitiques troublantes.
Lors de son audition devant les juges la semaine dernière, Alino a confirmé avoir reçu 20 millions de francs CFA en plusieurs tranches, dans un deal verrouillé par des émissaires liés à Guillaume Soro, ancien Premier ministre en fuite, et aujourd’hui associé à toutes les manœuvres subversives contre la République. Mais ce n’est pas tout : sur ordre de ses commanditaires, Alino a loué un appartement à la Riviera Golf précisément pour espionner les allées et venues du président Alassane Ouattara, observer ses horaires, ses escortes, ses itinéraires. Il servait d’yeux et d’oreilles pour un plan d’attaque millimétré contre le cortège présidentiel. Ce n’est pas une affaire de faits divers. C’est un casus belli, un cas d’école pour toute République qui tient à son honneur. Pourquoi un Burkinabè dans une affaire ivoirienne ? Parce que l’affaire dépasse les frontières. Elle révèle l’existence d’un axe informel entre certaines factions du pouvoir burkinabè actuel par l’intermédiaire de KASSOUM TRAORÉ, le petit frère, du petit Ibrahim Traoré, voyou ex-pensionnaire de la maison des fous de Ouagadougou et chef putschiste de la transition moribonde, et des éléments dormants de la galaxie pro-Soro, qui rêvent encore d’un retour insurrectionnel.
La Riviera Golf comme zone ciblée ? Ce n’est pas un hasard. Cette zone ultra-sécurisée symbolise le cœur du pouvoir présidentiel. Un attentat là-bas aurait été un séisme national et international. 20 millions pour tuer un président ? Voilà où mène le mercenariat politique du XXIe siècle. Des montants dérisoires pour des missions dévastatrices, dans un monde où l’IA, la désinformation et les conflits hybrides remplacent les guerres conventionnelles. L’affaire Alino Faso est le miroir d’un nouveau type de guerre contre la Côte d’Ivoire : Numérique, via les fake news propagées depuis les pays voisins par des intelligences artificielles détournées ; Territoriale, avec des opérations téléguidées depuis des capitales complices ou impuissantes ; Identitaire, par l’instrumentalisation d’enfants nés sur le sol ivoirien mais éduqués dans la haine de leur pays d’accueil. Revoir notre politique migratoire et de nationalisation : on ne peut plus se permettre d’accueillir des individus qui retournent l’ascenseur en posant des bombes. Renforcer les services de contre-espionnage : car si Alino n’avait pas été arrêté, c’est peut-être d’un deuil national qu’on parlerait aujourd’hui. Interpeller le Burkina Faso officiellement : le silence de Ouaga est assourdissant. Le peuple ivoirien mérite une explication diplomatique claire.
Suivre les flux financiers transfrontaliers : qui finance ces opérations ? À travers quels circuits ? Alino Faso a demandé pardon. Mais son pardon n’efface pas la peur, la colère, la trahison ressenties par tout un peuple. Il a tenté de tuer non seulement un homme, mais l’espérance de toute une Nation. Que ce soit clair : quiconque touchera à la stabilité de la Côte d’Ivoire verra la Nation entière se dresser. Que ce soit à Ouagadougou, à Accra ou à Paris, nous ne reculerons pas. L’affaire Alino Faso n’est pas une fin. C’est le début d’un réveil ivoirien. Un moment d’introspection et d’action. Car l’avenir ne se construit pas dans les caves de l’ingratitude, mais dans la lumière de la souveraineté retrouvée. Vigilance. Unité. Fermeté. L’heure n’est plus au doute. L’heure est à la riposte.
Signé : MO Hamed, patriote intransigeant au service de la vérité affranchi des dogmes.
- Publié dans Infos Ivoiriennes

Le vendredi 13 décembre, à l’Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara de Bingerville, une page extraordinaire de l’histoire médicale a été écrite. Après 17 heures d’une intervention délicate, les équipes de l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville en collaboration avec La Chaîne de l'Espoir, ont réussi la première séparation de siamoises en Côte d’Ivoire.
Marie-Dominique et Grace-Dominique, deux petites guerrières de 6 mois, étaient reliées par le foie, l’enveloppe du cœur et certains éléments du tube digestif. Grâce à la compétence, au dévouement et à l’humanité des équipes médicales, elles commencent aujourd’hui une nouvelle vie, séparées mais toujours unies par l’amour et l’espoir.
🙏 Nos remerciements vont à tous les héros qui ont rendu cela possible : Chirurgiens ivoiriens 🇨🇮 • Pr TEMBELY Samba • Pr DIETH Atafy Gaudens • Pr Da Silva ANOMA Sylvia • Pr YEO Sitiènèhin • Dr KOFFI Maxime • Dr COULIBALY Clément • Dr MENYÉ Assamoi Anesthésistes ivoiriens 🇨🇮 • Pr BROUH Yapo • Dr SORO-THIO Niortchan • Dr COULIBALY Klinan Théodore • Dr KONÉ Alphonse • Dr ANY Guy
Nos partenaires internationaux 🇫🇷🇨🇭 • Dr Adrien DE COCK – Médecin anesthésiste • Pr Christophe CHARDOT – Chirurgien pédiatre bénévole à La Chaîne de l'Espoir Suisse
Il y a des questions concernant le nouveau messie de nos amis du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) qui ont le don d’irriter ses adorateurs, mais qu’ils ne peuvent pas éluder, parce qu’il s’agit de confier le sort de notre pays à un individu. M. Tidjane Thiam alias Tithi et ses thuriféraires nous ressassent, à longueur d’articles dans les journaux qui leur sont proches, qu’il est un génie, aussi bien de la finance que de la politique, qu’il connaît tous ceux qui ont du pouvoir et dirigent les plus grandes entreprises dans ce monde, que Barack Obama lui écrit des lettres d’admiration, qu’il fait des selfies avec les géants de la Silicon Valley qui viendront bientôt s’installer en Côte d’Ivoire, bref, qu’avec lui, notre pays fera des pas de géant sur la voie de son développement. Je veux bien croire à tout cela, mais j’aimerais cependant qu’ils répondent, sans insulter, à ces simples questions.