Les Ivoiriens d’origine burkinabè anciennement voltaïque de la Marahoué réaffirment leur enracinement ivoirien et leur fidélité à la paix, aux côtés du président Épiphane Zoro Bi Ballo
Une rencontre conviviale et fraternelle dans le campement du président de la Haute
Autorité pour la Bonne Gouvernance
Installés dans la Marahoué depuis avant l’indépendance, les Ivoiriens d’origine burkinabè,
anciennement voltaïques, ont rendu une visite de fraternité et de reconnaissance au président
de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance (HABG), M. Épiphane Zoro Bi Ballo. La
rencontre s’est tenue dans son campement champêtre de Zorofla, au cœur de la nature, dans
une atmosphère simple et sincère, symbole de proximité et d’unité. Ce rendez-vous exceptionnel
a réuni près de 800 personnes venues de tous les villages moossés de la Marahoué — de
Koudougou à Garango, de Tenkodogo à Kayabobo — venues témoigner de leur attachement à
la paix et à la cohésion nationale.
Entre l’hommage vibrant de M. Issa Zongo, vice-gouverneur chargé de la région de la Marahoué,
et la réponse empreinte d’humanité du président Zoro Bi Ballo, cette journée a consacré l’image
d’une Côte d’Ivoire unie dans sa diversité, fidèle à l’esprit de fraternité voulu par les Pères
fondateurs de la Nation.
Une communauté enracinée dans l’histoire de la Marahoué
Les Moossés de la Marahoué constituent l’une des plus anciennes communautés établies dans
la région. Originaires du plateau voltaïque — aujourd’hui Burkina Faso — ils se sont implantés
bien avant l’indépendance, à une époque où les migrations se faisaient librement entre les
territoires de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Leurs villages, tels que Koudougou,
Garango, Kaya, Tenkodogo, Kayabobo, portent fièrement les mêmes noms que ceux du Burkina
Faso, témoignage d’une histoire partagée et d’une intégration réussie.
L’hommage fraternel de M. Issa Zongo
Au nom de la communauté moossé, M. Issa Zongo, proviseur du lycée des jeunes filles de
Yamoussoukro et vice-gouverneur chargé de la région de la Marahoué, a pris la parole pour
exprimer toute la gratitude des siens envers le président Zoro Bi Ballo.
« Vous partagez les bienfaits de la Côte d’Ivoire avec nous. Vous êtes un
homme généreux, affable et aimable. La communauté moossé ne connaît pas
la sincérité hypocrite. Quand elle dit “je suis avec toi”, c’est jusqu’à la fin. »
Zoro Bi Ballo : “Nous sommes ici comme un remède aux tensions entre communautés”
Dans sa réponse, le président Épiphane Zoro Bi Ballo a tenu à rappeler que cette rencontre
n’était pas un événement politique, mais une réunion de famille, de fraternité et de cohésion. Il a
expliqué avoir voulu recevoir les Moossés dans son campement, au milieu de la nature, pour
signifier la sincérité du dialogue, loin des cadres officiels. « Nous sommes ici comme un remèdeaux tensions qui peuvent exister entre communautés », a-t-il déclaré, invitant les populations à
dépasser les discours de division et à renforcer la solidarité régionale.
Un double hommage aux bâtisseurs de la Nation
Le président Zoro Bi Ballo a salué la mémoire du président Félix Houphouët-Boigny, père
fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, dont la vision d’un pays hospitalier et uni demeure un
repère pour tous les Ivoiriens. Il a également rendu hommage au président Alassane Ouattara,
artisan de la stabilité et du développement, qui poursuit avec constance l’œuvre de paix, de
modernisation et de progrès social.
« Nous devons préserver l’héritage que nous avons reçu : la paix, l’entente et
la cohésion. C’est cela la vraie richesse de notre pays. »
Conclusion : la Marahoué, laboratoire du vivre-ensemble
Au-delà du symbole, cette rencontre dans le campement du président Zoro Bi Ballo restera
comme un acte fort de proximité et de cohésion nationale. Elle consacre la Marahoué comme
modèle du vivre-ensemble ivoirien, où toutes les communautés participent au même idéal : bâtir
la paix, préserver l’unité et partager le développement. Sous l’impulsion du président de la
HABG, la région démontre qu’une Côte d’Ivoire réconciliée et fraternelle n’est pas un rêve, mais
une réalité vécue chaque jour, dans les villages, les champs et les cœur
- Publié dans Infos Ivoiriennes

Dans un contexte marqué par des crises alimentaires et énergétiques, Epiphane Zoro Bi Ballo, Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance de Côte d'Ivoire, a participé en tant que panéliste aux Assemblées Annuelles de la Banque Africaine de Développement (BAD). Au cours de cet événement, il a souligné les synergies entre ses actions en Côte d'Ivoire et le Rapport 2024 sur l’Indice de Fourniture de Services Publics en Afrique (PSDI).
#### 3. **Amélioration des Services Publics** Zoro Bi Ballo a souligné qu'une évaluation systématique et holistique des services publics est cruciale pour répondre aux attentes des citoyens. Son engagement en faveur de l'éducation et de la qualité des services publics en général est une proposition qui trouve un écho chez Akinwumi Adesina, renforçant l'idée que ces deux dirigeants sont alignés dans leurs priorités pour un développement durable et inclusif. 
L’homme fort de Ziguinchor se heurte au mur du réel : les slogans ne paient pas les fonctionnaires, les tweets ne construisent pas les routes, les incantations n’attirent pas les investisseurs. Pendant que le Sénégal balbutie sa stratégie régionale, hésitant entre AES et CEDEAO, la Côte d’Ivoire trace sa route. Solide, structurée, calibrée. Elle n’improvise pas, elle anticipe. L’élection à la présidence de la Banque Africaine de Développement (BAD) fut un révélateur brutal. Dakar proposait son candidat. Abidjan, sans bruit, choisit de soutenir la Mauritanie. Résultat : KO diplomatique pour le Sénégal. Ce n’était pas un accident. C’était un signal. La Côte d’Ivoire, en pleine montée en puissance régionale, rappelle aux autres capitales que le leadership ne se décrète pas. Il se mérite, il se construit, il se consolide. La BAD a son siège à Abidjan. Elle est une vitrine de stabilité, de stratégie, d’ancrage international. Ce que Dakar voulait incarner, Abidjan le réalise déjà. Pendant ce temps, les apprentis stratèges de l’AES s’essoufflent. Bamako tangue. Ouagadougou s’enlise. Niamey vacille. La rhétorique anti-française a atteint ses limites : elle n’a ni réduit la pauvreté, ni renforcé la souveraineté, ni stoppé l’insécurité. La Côte d’Ivoire, elle, a avancé sans fracas.
Il a soutenu des transitions maîtrisées, sans hystérie populiste. Il a vu les “enfants turbulents” de l’AES s’isoler… et il a attendu. Et aujourd’hui, ils reviennent. Un à un. Tête basse. Sonko ne vient pas en chef. Il vient en élève. Lucide. Prudent. Moins vindicatif. Plus réaliste. Il a compris que l’Afrique ne se construit pas sur YouTube, ni sur les chaînes russes, mais dans les centres de décision économiques. À tous les pseudo-panafricanistes qui rêvaient d’un renversement de l’ordre ouest-africain, à tous les trolls pro-russes qui pensaient faire tomber Abidjan comme un château de cartes : il est temps de se réveiller. Abidjan n’a pas fléchi. Elle a absorbé les chocs, renforcé ses alliances, et imposé sa vision. Les autres s’agitent. Elle avance. Les autres crient. Elle bâtit. Les autres rêvent. Elle gouverne. La visite de Sonko, c’est une page nouvelle.
M. Tah, de nationalité mauritanienne, a été élu par le Conseil des gouverneurs de la Banque, composé des ministres des Finances et de l’Économie ou des gouverneurs des banques centrales des 81 pays membres régionaux et non régionaux du Groupe de la Banque. Ce Conseil est la plus haute instance décisionnelle du Groupe de la Banque.
“L’art de la paix… par la guerre des nerfs” Sous le soleil brûlant d’Abidjan, une rencontre secrète s’est jouée. Une rencontre aux allures d’échecs géopolitiques où chaque pion, chaque cavalier, chaque fou a été placé méthodiquement. Ce 26 mai 2025, dans les coulisses du pouvoir, le Président Alassane Ouattara, fin stratège, héritier des tactiques diplomatiques d’Houphouet-Boigny Félix, a frappé un coup de maître : il a reçu Ali Zeidine, Premier ministre du Niger sous Tiani… mais seulement après avoir écrit les règles de la rencontre. L’Alliance des États du Sahel (AES) est aujourd’hui une coque vide. Les coups de menton ne masquent plus la détresse économique des juntes du Mali, du Burkina et du Niger. Leurs caisses sont vides, leurs alliés russes sont défaillants, et leur peuple, épuisé. Le Niger, isolé, affamé financièrement et diplomatiquement, sait que le temps joue contre lui. C’est dans cette impasse stratégique que Mahamadou Issoufou, ex-président nigérien fin négociateur et encore influent à Niamey avec des amis à Paris, Washington, active ses réseaux. Il joue les émissaires de l’ombre, manœuvrant discrètement entre coulisses africaines et salons feutrés du FMI.
À voir le visage défait du Premier ministre nigérien, on croirait contempler la statue brisée d’un général qui vient de découvrir, trop tard, que la bataille avait déjà été jouée la veille et perdue dans le silence. L’homme ne parle plus. Il rumine. Il digère mal l’évidence : la partie est finie. Ce n’était pas un bras de fer, c’était une danse. Et ADO, fidèle à lui-même, y est entré non comme un adversaire, mais comme un chorégraphe. Souriant, détendu, presque paternel, il avançait ses pièces avec la lenteur du sage et la légèreté du prophète. Ironie du sort : ceux qui pensaient le piéger se sont retrouvés enfermés dans leur propre stratagème. Ils ont cru à un affrontement frontal ; ils ont reçu une leçon de stratégie byzantine. Ils ont espéré un duel ; ils ont assisté à une démonstration. L’histoire retiendra moins la chute de leurs illusions que le calme olympien avec lequel ADO, tel un vieux roi stoïcien, a refermé la trappe sous leurs pieds. 

En appelant à suivre les alertes des autorités compétentes, la Ministre Dogo souligne l'importance d'une prise de conscience collective. Cela doit s’accompagner d’actions concrètes de la part des politiques pour garantir l'accès à des informations pertinentes et à des formations sur la sécurité et la prévention des risques. Mais encore faut-il que ces acteurs choisissent d'agir dans l'intérêt général au lieu de se compromettre avec des lobbies qui visent avant tout à maintenir l'ignorance pour mieux manipuler. La lutte contre la pauvreté et l’ignorance ne peut se faire sans une véritable volonté politique tendant à réformer les pratiques néfastes qui entravent le développement. Il est temps de dénoncer ces malfrats intellectuels et de soutenir les politiciens véritablement conscients des enjeux sociaux.
Lors de son audition devant les juges la semaine dernière, Alino a confirmé avoir reçu 20 millions de francs CFA en plusieurs tranches, dans un deal verrouillé par des émissaires liés à Guillaume Soro, ancien Premier ministre en fuite, et aujourd’hui associé à toutes les manœuvres subversives contre la République. Mais ce n’est pas tout : sur ordre de ses commanditaires, Alino a loué un appartement à la Riviera Golf précisément pour espionner les allées et venues du président Alassane Ouattara, observer ses horaires, ses escortes, ses itinéraires. Il servait d’yeux et d’oreilles pour un plan d’attaque millimétré contre le cortège présidentiel. Ce n’est pas une affaire de faits divers. C’est un casus belli, un cas d’école pour toute République qui tient à son honneur. Pourquoi un Burkinabè dans une affaire ivoirienne ? Parce que l’affaire dépasse les frontières. Elle révèle l’existence d’un axe informel entre certaines factions du pouvoir burkinabè actuel par l’intermédiaire de KASSOUM TRAORÉ, le petit frère, du petit Ibrahim Traoré, voyou ex-pensionnaire de la maison des fous de Ouagadougou et chef putschiste de la transition moribonde, et des éléments dormants de la galaxie pro-Soro, qui rêvent encore d’un retour insurrectionnel.
La Riviera Golf comme zone ciblée ? Ce n’est pas un hasard. Cette zone ultra-sécurisée symbolise le cœur du pouvoir présidentiel. Un attentat là-bas aurait été un séisme national et international. 20 millions pour tuer un président ? Voilà où mène le mercenariat politique du XXIe siècle. Des montants dérisoires pour des missions dévastatrices, dans un monde où l’IA, la désinformation et les conflits hybrides remplacent les guerres conventionnelles. L’affaire Alino Faso est le miroir d’un nouveau type de guerre contre la Côte d’Ivoire : Numérique, via les fake news propagées depuis les pays voisins par des intelligences artificielles détournées ; Territoriale, avec des opérations téléguidées depuis des capitales complices ou impuissantes ; Identitaire, par l’instrumentalisation d’enfants nés sur le sol ivoirien mais éduqués dans la haine de leur pays d’accueil. Revoir notre politique migratoire et de nationalisation : on ne peut plus se permettre d’accueillir des individus qui retournent l’ascenseur en posant des bombes. Renforcer les services de contre-espionnage : car si Alino n’avait pas été arrêté, c’est peut-être d’un deuil national qu’on parlerait aujourd’hui. Interpeller le Burkina Faso officiellement : le silence de Ouaga est assourdissant. Le peuple ivoirien mérite une explication diplomatique claire.